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Actualités sur les opérations, les enquêtes, la sécurité, l’action des autorités et les faits de police en France.
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Elle roule avec une plaque d’immatriculation faite à la main avec du feutre… et se fait interpeller par la police
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Permis retiré, voiture confisquée : ce que prévoit le projet de loi contre les rodéos urbains
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Un projet de loi en préparation pour sanctionner davantage les rodéos urbains et les rave parties, annonce Laurent Nuñez
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Mortiers, rodéos urbains et rave-parties : Laurent Nunez veut renforcer la lutte contre ces phénomènes qui «pourrissent la vie»
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Agression mortelle d'un couple de septuagénaires
Le ParisienLe Parisien
Pas-de-Calais : une septuagénaire retrouvée morte à son domicile, son compagnon grièvement blessé
Le FigaroLe Figaro
Dans le Pas-de-Calais, une femme retrouvée morte chez elle, son compagnon hospitalisé
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Pas-de-Calais : un couple agressé à son domicile, une septuagénaire retrouvée morte
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Homme tué par la police à Ajaccio : ses parents veulent porter plainte pour homicide volontaire aggravé

« Dans quelles conditions la police a tiré les trois coups ? Est-ce que c’était vraiment nécessaire de riposter de cette façon ? » s’interroge l’avocate des parents de Mouhamed Gueye. Leur fils, armé d’un couteau, a été tué par la police ce samedi à Ajaccio. Ils souhaitent porter plainte, a indiqué leur avocate ce dimanche, confirmant une information de Corse-Matin.Me Aljia Fazai-Codaccioni, précise qu’elle souhaite porter plainte pour homicide volontaire aggravé et attend le livret de famille et la procuration des parents qui vivent au Sénégal avant de pouvoir le faire.Une enquête a été ouverte pour « homicide volontaire aggravé » à l’encontre du policier auteur des coups de feu, et une autre pour « tentative d’homicide aggravé » contre l’assaillant, a indiqué samedi soir le procureur Nicolas Septe.L’IGPN « en observation »Dans un communiqué de presse transmis dimanche, Nicolas Septe, le procureur de la République d’Ajaccio précise que « les premiers passants auditionnés indiquaient que les policiers avaient fait tout leur possible pour intimer à l’individu de lâcher son couteau et ont repoussé du plus possible l’échéance pour faire usage de leur arme. Pour eux, les policiers n’avaient plus d’autre alternative pour sauvegarder leur intégrité et celle d’autrui ».Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme âgé de 26 ans, de nationalité sénégalaise et titulaire d’un visa étudiant, menaçait des passants avec un couteau en plein cœur d’Ajaccio samedi midi.« Des policiers tentaient de venir le maîtriser avec du mobilier (table haute/chaise) en le bloquant contre la grille, ajoute le représentant du parquet. L’individu arrivait à repousser le policier, puis se dirigeait précipitamment vers deux autres policiers qui lui demandaient une nouvelle fois de lâcher son couteau », a écrit le procureur dimanche.Selon plusieurs témoins, l’homme serait arrivé vers les deux policiers avec le bras levé et le couteau en leur direction : « Un des policiers, après d’ultimes sommations faites à l’individu de s’arrêter, finissait par faire usage de son arme de service immobilisant ainsi l’assaillant alors qu’il se trouvait à environ 100 ou 150 cm de lui », complète le parquet.La police a d’abord fait usage d’un pistolet à impulsion électrique, sans succès. L’un des policiers a alors fait feu à trois reprises sur l’homme, qui est décédé. L’IGPN, la police des polices, n’est pas saisie à ce stade, a précisé à l’AFP le procureur samedi soir, mais est « en observation ».

Source LogoLe Parisien
Une enquête ouverte pour « destructions volontaires par incendie »

Mis en ligne le 21/12/2025 à 18:25 Lecture zen Selon le parquet du Havre, « samedi 20 décembre 2025, un peu avant 21h30, les effectifs de police étaient requis suite au déclenchement d’une alarme anti-intrusion puis de détecteurs de fumées au sein de la salle de jeux de l’école maternelle Mont Le Comte au Havre, dans le quartier de Caucriauville ».La magistrate poursuit : « (…) Les investigations à l’intérieur du bâtiment n’ont pu débuter que dans la matinée, compte tenu de la nécessité d’assurer la sécurisation de l’intervention des effectifs ». Tout en précisant qu’« aucune victime n’est à déplorer et aucune tension particulière préexistante ne peut permettre d’orienter les investigations. Un seul départ de feu a été identifié dans le cadre de ces premières constatations ».Le parquet du Havre conclut : « Une expertise incendie sera diligentée dans les prochains jours et les investigations vont se poursuivre. Compte tenu du déclenchement de l’alarme anti-intrusion, une enquête a été ouverte confiée au commissariat du Havre du chef de destructions volontaires par incendie. Les investigations complémentaires vont permettre de confirmer ou d’infirmer la piste de l’incendie volontaire ». Une enquête ouverte pour « destructions volontaires par incendie »

Source LogoParis Normandie
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« Frappe le policier » : condamné pour apologie du terrorisme et sous OQTF, l’influenceur algérien Mahdi B. menace des policiers

Le ministère de l’Intérieur a saisi la plateforme Pharos après la diffusion, vendredi 20 décembre, d’une vidéo où l’influenceur algérien Mahdi B., 29 ans, insulte des policiers et appelle à... L’article « Frappe le policier » : condamné pour apologie du terrorisme et sous OQTF, l’influenceur algérien Mahdi B. menace des policiers est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Source LogoValeurs Actuelles
Sécurité publique dans l’Oise : le satisfecit du préfet, mais encore trop de tués sur la route

Moins d’accidents mais plus de mortels sur les routes de l’Oise - Archives SDIS60 Jean Marie Caillaud préfet de l’Oise Mis en ligne le 21/12/2025 à 15:48 Lecture zen Lors de son point presse, mardi 16 décembre, à la Préfecture de l’Oise à Beauvais, le préfet Jean-Marie Caillaud, arrivé en poste il y a un an et un mois, a fait un premier bilan sur le Plan d’action pour la sécurité au quotidien pour l’année 2025.Un bilan « encourageant » selon le représentant de l’État soulignant la mobilisation accrue des forces de sécurité sur la voie publique : « + 10 % par rapport à 2024. Cela se traduit par des résultats concrets. Nous notons sur la même période une baisse de 5,4 % des cambriolages et de 19,8 % des vols avec violence », se félicite Jean-Marie Caillaud même si, reconnaît-il, « le sentiment d’insécurité est toujours fort chez nos concitoyens confrontés aux incivilités du quotidien ».372 645€ d’avoirs criminels ont été saisis et 6,85kg de cocaïne sur les huit premiers mois de l’année 2025. Le nombre de personnes mises en cause pour trafic de stupéfiants a augmenté de 12,9 %.Jean-Marie Caillaud, préfet de l’OiseLes indicateurs sont également en baisse concernant la violence conjugale. « Cela signifie deux choses : premièrement, la parole se libère de plus en plus, et deuxièmement, les plaintes sont mieux prises en compte et les actes sanctionnés. »Sur la lutte contre les stupéfiants et le narcotrafic, la grande priorité de l’État, de grandes opérations ont été menées, notamment avec les Villes Sécurité Renforcée (VSR) à Creil, Méru, Compiègne et Noyon. « 372 645€ d’avoirs criminels ont été saisis et 6,85kg de cocaïne sur les 8 premiers mois de l’année 2025. Le nombre de personnes mises en cause pour trafic de stupéfiants a augmenté de 12,9 % et deux points de deal ont été démantelés en juin à Méru et Pont-Sainte-Maxence. Récemment nous avons fait une saisie de 220 kilos de cannabis à Creil. Ces bons chiffres montrent que nous dérangeons le trafic », déclare le préfet, notant l’arrivée de nouvelles drogues sur le territoire, comme l’efanil (drogue de synthèse) ou le crack. À lire aussi Dans l’Oise, une cinquantaine de radars bâchés, au moins deux dégradés, l’État va porter plainte L’angle mort de cette politique de sécurité reste la sécurité routière. « Si les accidents corporels sont en baisse de 7 %, le nombre d’accidents mortels reste préoccupant représentant +19 % entre 2024 et 2025. Nous sommes début décembre à 38 tués sur les routes contre 35 en 2024. Cela démontre un vrai problème d’insécurité routière », déplore M. Caillaud. Selon les chiffres de la préfecture, la moitié des cas d’accidents mortels est liée au trio alcool-stupéfiant-vitesse. Par Ludovic Lascombe Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Beauvais (Oise) Méru (Oise) Creil (Oise) Compiègne Sécurité publique dans l’Oise : le satisfecit du préfet, mais encore trop de tués sur la route Pour l’État, le bilan du plan d’action pour la sécurité du quotidien est « encourageant ». Mais l’insécurité routière reste préoccupante.

Source LogoParis Normandie
Le ParisienLe Parisien
Piratage au ministère de l’Intérieur : le hacker présumé de 22 ans mis en examen et placé en détention provisoire
Le MondeLe Monde
Qui est Melvin L., mis en examen pour le piratage du ministère de l’intérieur ?
Le MondeLe Monde
Cyberattaque contre le ministère de l’intérieur : le suspect, âgé de 22 ans, mis en examen et placé en détention provisoire
Europe 1Europe 1
Cyberattaque contre le ministère de l'Intérieur : le hacker présumé de 22 ans placé en détention provisoire
Le ParisienLe Parisien
Marseille : un homme d’une vingtaine d’années tué par balles dans le nord de la ville
Le MondeLe Monde
Martinique : trois homicides en une seule nuit, 40 en 2025
TF1 InfoTF1 Info
"Un usage décomplexé des armes" : 3 nouveaux homicides en Martinique, pourquoi le bilan explose-t-il dans les Antilles ?
Le ParisienLe Parisien
Martinique : trois homicides en une seule nuit, 40 depuis le début de l’année sur l’île
La Dépêche du MidiLa Dépêche du Midi
Homme armé tué par la police à Ajaccio : qui était l’individu abattu par les forces de l’ordre ?
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Homme armé d'un couteau à Ajaccio : ce que l'on sait de l'individu tué par la police dans le centre-ville
Midi LibreMidi Libre
Homme armé d’un couteau abattu à Ajaccio : l’assaillant avait eu deux altercations dans des bars… tout ce qu’il faut savoir de l’attaque
La ProvenceLa Provence
Homme armé d'un couteau tué à Ajaccio : l'attentat terroriste écarté, menaces sur des passants... ce que l'on sait
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Un homme poignarde deux adolescents à Toulouse, les policiers font feu

Il a été très grièvement blessé. Un homme a été blessé par balle par la police à Toulouse, samedi soir, après avoir agressé deux adolescents de 15 et 16 ans à l’arme blanche et s’être jeté sur les forces de l’ordre.« L’agresseur a été neutralisé par la police nationale et blessé par arme à feu » avant d’être « évacué en urgence absolue », ont rapporté les sapeurs-pompiers de Haute-Garonne.À l’arrivée des forces de l’ordre, intervenues vers 21h30 pour une agression, l’assaillant s’est jeté sur les policiers avec son couteau à la main, a indiqué une source policière.Plusieurs tirsDes policiers ont tiré à plusieurs reprises, a poursuivi cette source, précisant qu’à ce stade, la piste d’une attaque terroriste est écartée et que le pronostic vital de l’homme blessé par balle était engagé.Les deux victimes, « deux hommes de 15 et 16 ans, blessés par arme blanche » lors de l’agression, ont été transportés vers un hôpital en « urgence relative », selon le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de Haute-Garonne.

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Ajaccio : ce que l'on sait de l'homme armé abattu par la police en pleine rue
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Ajaccio : un homme armé d'un couteau, abattu par la police
Le FigaroLe Figaro
Corse : les images impressionnantes des policiers qui interceptent et suivent un homme armé d’un couteau, ensuite abattu
Le ParisienLe Parisien
Un homme armé d’un couteau tué par la police dans le centre-ville d’Ajaccio
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Nice : une enquête ouverte après la chute d’un homme qui était placé en garde à vue

Que s’est-il passé au commissariat Auvare de Nice (Alpes-Maritimes) cette semaine ? Une enquête a été ouverte par le parquet de Nice ce samedi, après la chute d’un homme placé en garde à vue pour trafic de stupéfiants, révèle Nice Matin. Ce dernier est hospitalisé à l’hôpital Pasteur 2, pour de graves blessures. L’homme de 40 ans souffre notamment de multiples fractures : au crâne, au dos, aux cervicales.Le procureur de la République adjoint de Nice, Maud Marty, a précisé à nos confrères que l’enquête « pour recherche des causes des blessures de la personne placée en garde à vue » a été confiée à la cellule déontologie de la Direction interministérielle de la police nationale (DIPN) des Alpes-Maritimes.Selon la famille de la victime, l’homme est désormais dans un état stable, après que son pronostic vital ait été engagé. D’après ses proches, cités par le journal, la chute de la victime, estimée à six mètres, aurait eu lieu dans les escaliers. Une source proche du dossier, citée par nos confrères, nuance et indique que la victime était « menotté dans le dos au moment de sa chute qui serait intervenue de l’un des bâtiments d’Auvare et pas dans les escaliers ».

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Suivez l’argent

« Follow the money. » En français, « suivre l’argent ». C’était le mantra du juge antimafia italien, Giovanni Falcone. Ce magistrat mythique a été assassiné en 1992. Trois décennies plus tard, l’adage est toujours au centre de la lutte contre le crime organisé. La traque de l’argent sale du narcotrafic en France sera une des priorités du nouveau Parquet national anti-criminalité organisée (Pnaco) qui sera opérationnel début janvier.L’argent, le « nerf de la guerre », pèse très lourd. Selon les estimations, le chiffre d’affaires du trafic de drogue en France oscille entre 6 et 8 milliards d’euros par an. Et si, chaque année, l’action des policiers et des magistrats permet de saisir des tonnes de haschich et de cocaïne et de récupérer des millions d’euros, une grande partie de ces bénéfices clandestins reste bien au chaud dans les poches des trafiquants. Dans les poches, mais aussi dans des investissements immobiliers en France, à l’étranger, dans la cryptomonnaie.

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« Je suis allé tout de suite vers lui pour essayer de le neutraliser » : un témoin qui a stoppé l’assaillant d’Ajaccio raconte

En s’installant sur la terrasse du bar Le Valinco avec ses amis, Krimau El Majouti n’imaginait évidemment pas la tournure qu’ont prise les événements ce samedi midi. Pourtant, ce héros a bel et bien désarmé un homme, armé d’un couteau, qui menaçait des commerçants et des passants sur le cours Napoléon, une artère très fréquentée d’Ajaccio (Corse-du-Sud). L’homme, âgé de 26 ans, a finalement été mortellement touché par un ou plusieurs tirs effectués par la police nationale.Attablé avec ses amis, Krimau El Majouti, ancien conseiller régional chargé de l’athlétisme auprès du ministère de la Jeunesse et des Sports en Corse, a d’abord « entendu des gens crier : cachez-vous ! », a-t-il raconté à nos confrères de Corse Matin. « Ça partait dans tous les sens », relate-t-il. Krimau El Majouti se retourne alors et aperçoit un homme qui brandit « un long couteau de cuisine », entouré de policiers qui tentent de l’arrêter.« Il s’est tapé la tête »« Je suis allé tout de suite vers lui pour essayer de le neutraliser », explique le témoin face à la caméra de nos confrères. « J’ai pris une table qui lui a touché ses jambes, ça l’a fait trébucher et il s’est tapé la tête », poursuit-il, ajoutant que d’autres témoins ont fait la même chose et ont lancé des chaises et des tables en direction de l’assaillant.En chutant au sol, l’homme aurait alors brièvement perdu connaissance, selon Krimau El Majouti. Il profite de ce moment pour se diriger vers l’assaillant. « J’ai frappé sa main pour l’ouvrir et libérer le couteau », explique-t-il à nos confrères.Quelques secondes plus tard, la police a fait usage d’un pistolet à impulsion électrique, sans succès. L’un des fonctionnaires a alors fait feu à plusieurs reprises sur l’homme, qui est décédé, selon le procureur de la République d’Ajaccio. L’IGPN, la police des polices, a été saisie.

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Jeune tué à l’arme blanche dans le Val-d’Oise : sa compagne interpellée et un suspect en fuite

Les circonstances du drame restent floues. Un jeune homme âgé de 21 ans a perdu la vie à Argenteuil, après avoir été frappé de plusieurs coups de couteau, ce vendredi 19 décembre au soir. Il est un peu plus de 22 heures lorsque les forces de l’ordre sont appelées square Jean-Delafontaine, pour porter secours à un homme touché par arme blanche, sur la voie publique.Sur place, les secours, pompiers et Samu, effectuent un massage cardiaque à la victime. Celle-ci aurait été frappée à plusieurs reprises par arme blanche, a priori un couteau, au niveau du thorax. À 22h45, le médecin du Samu constate le décès du jeune homme. Natif de Colombes (Hauts-de-Seine), celui-ci habitait Argenteuil. Deux témoins auraient vu l’auteur du coup prendre la fuite.Une deuxième mort par arme blanche en quelques jours Une enquête en flagrance a été confiée à la division de la criminalité organisée (DCOS) de la direction interdépartementale de la police nationale du Val-d’Oise, du chef de meurtre, selon le parquet de Pontoise. Dans le cadre des premières investigations, un magistrat du parquet s’est rendu immédiatement sur place, ainsi qu’un médecin légiste. Celui-ci a procédé à des premières constatations médico-légales dans l’attente de la réalisation d’une autopsie.Selon les premiers éléments de l’enquête, restant à confirmer, un lien existerait entre la compagne de la victime et l’auteur de l’agression, toujours introuvable ce samedi midi. La compagne, âgée de 19 ans, a été interpellée et placée en garde à vue.C’est la deuxième fois en quelques jours qu’un jeune est tué à l’arme blanche sur la voie publique dans le Val-d’Oise. Lundi 15 décembre, à Villiers-le-Bel, un homme de 25 ans a été frappé au thorax à l’arme blanche, peu après 19 heures, dans des circonstances restant à déterminer. Malgré les tentatives de réanimation, il est mort des suites de ses blessures.

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Violent braquage d'une fabrique de bijoux à Besançon : que s'est-il passé ?
L'Est RépublicainL'Est Républicain
Doubs. Braquage de 30 kg d’or et tirs sur la police : une voiture retrouvée incendiée près de Besançon
FranceinfoFranceinfo
À Besançon, un braquage spectaculaire à l'explosif dans une usine de bijoux
FranceinfoFranceinfo
À Besançon, un braquage spectaculaire à l'explosif dans une usine de bijoux
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Dans le Val-d’Oise, le duo s’était spécialisé dans les vols de voitures

C’est le fruit de nombreuses heures de travail, entre utilisation des images de vidéoprotection, géolocalisation et exploitations des données téléphoniques. Une enquête menée par les équipes de la BAC Nuit et les enquêteurs de la police judiciaire (groupe d’atteinte aux biens) du commissariat d’Enghien-les-Bains ont permis d’identifier et d’interpeller un duo auteur de plusieurs vols de véhicules commis entre juin et juillet 2025 à Montmorency et à Groslay, dans le Val-d’Oise.Les investigations ont permis de relier les deux suspects à sept vols de véhicules, quatre recels de vol et deux usurpations de plaques minéralogiques, représentant une quinzaine de victimes.Des perquisitions menées à leur domicile ont confirmé leur implication. Les deux individus ont été interpellés. L’un des deux, déjà incarcéré en maison d’arrêt pour d’autres faits, a été extrait de sa cellule. Il a reconnu plusieurs faits avant d’être déféré en comparution immédiate le 28 novembre dernier. Remis en détention, il sera jugé le 30 janvier prochain.« Nos équipes sont très mobilisées »« Nous avons régulièrement des équipes qui travaillent sur le vol de véhicules et le recel d’accessoires, explique une source policière. Nos équipes sont très mobilisées sur le sujet, en lien avec les opérateurs des Centres de Supervision Urbaine. Nous faisons face à des vols sériels, avec des individus qui répondent parfois à des commandes. »En Île-de-France, les enquêteurs doivent notamment faire face à de nombreux vols de Clio 5, best-seller des ventes françaises prisée notamment pour ses pièces détachées comme les banquettes, les tableaux de bord ou les caméras de recul, revendues sur des marchés parallèles.

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[1/2] Vengeance et colis piégé : le mystérieux attentat de La Baule

Écoutez Crime story, le podcast de faits divers du ParisienPartie 1Sur votre smartphone ou votre tablette, écoutez Crime story et abonnez-vous sur :Apple Podcast (iPhone, iPad)Podcast Addict ou CastboxDeezerSpotifyRésumé. (Premier épisode) Le vendredi 24 novembre 2000, un colis piégé explose au Syndicat intercommunal de la côte d’Amour et de la presqu’île guérandaise, le SICAPG. L’engin explosif, dissimulé dans une chaîne hifi, tue un agent de 39 ans, Jacques Leparoux.En réalité, ce n’est pas lui qui est visé mais Christophe Priou, maire du Croisic et président du syndicat. Il vient d’échapper à un attentat.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Garnier-Amouroux, Anaïs Godard et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l’aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité les ressources suivantes : Faites entrer l’accusé, France 3 Régions et Libération.À propos de Crime story. Le podcast Crime story raconte chaque semaine les grandes affaires criminelles qui ont marqué ces dernières décennies. Publié chaque samedi, Crime story est présenté par la journaliste Clawdia Prolongeau et son invité permanent, Damien Delseny, le chef du service police justice du Parisien.

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Huit millions d’euros en cryptomonnaies volés : ce que l’on sait de la séquestration d’un couple près de La Rochelle
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Charente-Maritime : séquestré et frappé, un couple se fait voler plus de 8 millions d'euros de cryptomonnaie
Le TélégrammeLe Télégramme
Un couple séquestré et cambriolé, près de La Rochelle, pour huit millions d’euros en cryptomonnaies
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France: un couple séquestré et cambriolé de 8 millions d'euros en cryptomonnaies
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Mineur grièvement blessé par balles à Grenoble : un suspect de 19 ans interpellé et mis en examen
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Adolescent blessé par balle à Grenoble: un homme de 19 ans interpellé et mis en examen
BFMTVBFMTV
Adolescent blessé par balle à Grenoble: un homme de 19 ans interpellé et mis en examen pour "tentative d'assassinat"
Ouest FranceOuest France
Adolescent blessé par balle à Grenoble : un homme de 19 ans interpellé
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Cigarettes saisies, commerces fermés… le bilan d’une large opération policière dans la rue Marx-Dormoy à Paris

Entre la gare du Nord et de l’Est, ils ont mené une opération policière « d’ampleur ». C’était ce jeudi, dans un endroit où « ça peut dégénérer à tout moment », comme nous l’avions raconté : la rue Marx-Dormoy, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Le but était de lutter contre les fraudes sociales et fiscales, le travail dissimulé ou encore les contrefaçons.Résultat ? Les autorités ont saisi 76 paquets de tabac à chiquer et 28 paquets de cigarette, d’après le parquet de Paris et la préfecture de police ce vendredi. Ils ont également interpellé une personne pour port d’arme et blanchiment d’argent, 13 autres pour situation administrative irrégulière et deux dernières pour usages de stupéfiants.Surtout, trois commerces contrôlés rue Marx-Dormoy ont fait l’objet d’une fermeture pour raisons d’hygiène suite à l’opération de ce jeudi, en l’espèce avec des défauts de « sécurité incendie » et de « déclaration de systèmes de vidéosurveillance », selon le communiqué. Ces commerces étaient d’ailleurs l’objectif de l’opération, menée par 150 agents.« Place nette »Dans cette rue du nord de la capitale, depuis plusieurs années, les ventes à la sauvette de cigarettes de contrebande, de drogue mais aussi de smartphones, casques audios ou chaussettes persistent. Les autorités avaient pourtant promis de faire « place nette » avant le début des Jeux olympiques de Paris en 2024, c’est-à-dire il y a un an et demi.Selon nos informations déjà publiées, chaque mois, 3 000 paquets de cigarettes sont saisis, et chaque jour, 10 kg de « chemma », le tabac à mâcher. Par ailleurs, la préfecture de police de Paris affirme avoir détruit 5,6 tonnes de marchandises frauduleuses entre le 1er janvier et le 30 novembre de cette année.Mais, comme nous le racontions, en fin d’après-midi ce jeudi, une fois que l’opération policière a été terminée, les vendeurs à la sauvette étaient déjà de retour. Reste à savoir si « l’augmentation continue de l’activité de police », selon la préfecture de police de Paris, va permettre de contrecarrer le trafic et l’insécurité du quartier. En tout cas, elle se « poursuit ».

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Soupçonné de vouloir s’en prendre à des policiers, un jeune Alsacien radicalisé de 19 ans interpellé et mis en examen

La menace terroriste ne faiblit pas dans l’Hexagone. Un jeune homme de 19 ans a été mis en examen, ce vendredi à Paris, pour des faits d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. Ce garçon d’origine italo-marocaine qui vivait du côté de Colmar (Haut-Rhin) a été interpellé en début de semaine par les enquêteurs de la Direction centrale du renseignement intérieur. Il a été repéré il y a quelques semaines sur les réseaux sociaux où il a prêté allégeance à Daesh.Les forces de l’ordre estiment qu’il nourrissait le projet de commettre un attentat et de s’en prendre à des fonctionnaires de police. « Il y a notamment des consultations d’adresses de commissariat qui ont été découvertes sur ses supports numériques », précise une source proche du dossier. Il a été placé en garde à vue à Levallois (Hauts-de-Seine).Casier judiciaire viergeLors de ses auditions, il a contesté toute velléité de passer à l’acte. Ce garçon est doté d’un casier judiciaire vierge. « Il explique que ses recherches correspondent à une convocation devant la police », ajoute la même source.Après son passage devant le juge d’instruction, il devait rencontrer tard dans la soirée le juge de la détention. Interrogé, son avocat, Me Pierre-François Feltesse, n’a pas souhaité s’exprimer sur le dossier.Les forces de l’ordre ont été particulièrement visées par les terroristes ces dernières années. On se souvient de l’attentat de Rambouillet (Yvelines) survenu au commissariat le 23 avril 2021. Une adjointe administrative, Stéphanie Monfermé, avait été tuée au couteau par un assaillant, Jamel Gorchene, qui avait ensuite été abattu. L’agresseur, de nationalité tunisienne, avait consulté des vidéos faisant l’apologie du djihad avant l’attaque.Toujours dans les Yvelines, à Magnanville, le 13 juin 2016, un djihadiste se revendiquant de l’État islamique, Larossi Abballa, avait assassiné un couple de fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, le commandant Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider à leur domicile.Plus récemment, Laurent Nuñez, le ministre de l’Intérieur, a appelé à plusieurs reprises à renforcer la sécurité, notamment autour des marchés de Noël et pour le Nouvel An, en raison d’une menace terroriste jugée « très élevée ». Il a également demandé un renforcement de la présence policière autour des lieux de culte juifs après l’attentat antisémite de Sydney.

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Le ParisienLe Parisien
Gilets jaunes : la justice va examiner la responsabilité du préfet Didier Lallement pour la mutilation d’un manifestant
Le ParisienLe Parisien
Émeutes urbaines de 2023 : un commissaire condamné à de la prison avec sursis pour des violences envers une enseignante
La voix du NordLa voix du Nord
Le préfet Lallement visé en tant que « donneur d’ordre » pour un gilet jaune de Valenciennes éborgné
TV5 MONDETV5 MONDE
Un "Gilet jaune" éborgné obtient qu'un juge examine la responsabilité d'un préfet de police
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« Les policiers se sont retrouvés sous des rafales d’arme de guerre » : après le braquage, sidération à Besançon

Le véhicule des policiers a été repositionné à l’endroit exact où il se trouvait, ce vendredi matin, à 7h30, à Besançon (Doubs). Durant une partie de l’après-midi, les hommes de la police technique et scientifique ont examiné chaque recoin, en réalisant des clichés et des mesures. Dans l’habitacle, ils ont extrait une munition de calibre 7,62 mm. Des cartouches surpuissantes, utilisées par les braqueurs pour mitrailler les policiers.C’est au lever du jour qu’un commando lourdement armé s’est présenté aux abords de la manufacture Losange, une entreprise qui produit des bijoux, en moyenne et grande série. Un individu a disposé des explosifs sur une vitre, à l’arrière du bâtiment. Une violente déflagration a secoué les locaux, avant que trois suspects s’engouffrent à l’intérieur de la brèche.

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Refus d’obtempérer à Toulon : le conducteur en détention jusqu’à son procès en février

Le conducteur ayant refusé d’obtempérer à Toulon mercredi et qui a blessé un policier dans sa fuite, a été placé en détention dans l’attente de son procès le 13 février, a annoncé le procureur Raphaël Balland vendredi.L’autre enquête, de l’IGPN - la police des polices - concernant les deux policiers qui ont grièvement blessé la passagère du véhicule, en tirant à 20 reprises, « devrait prendre encore plusieurs semaines », selon le communiqué du parquet de Toulon.« La dangerosité de sa conduite »Les faits se sont produits mercredi soir, lorsque les policiers ont tenté d’interpeller un conducteur après une infraction routière. Il a pris la fuite et a percuté et fait chuter au sol un des policiers qui a été légèrement blessé à la jambe, selon le récit fait par les quatre policiers sur place. Deux policiers, dont celui qui était blessé, ont alors ouvert le feu en direction du véhicule, avant de le suivre à pied et de tirer à nouveau sur cette voiture anglaise, avec le volant à droite.Selon le parquet de Toulon, les investigations ont permis de retracer le périple du chauffard et de confirmer « la dangerosité de sa conduite ». Néanmoins, « elles n’ont pas permis d’établir qu’il avait eu l’intention de porter atteinte à la vie du policier tombé à terre ». C’est pourquoi le parquet n’a retenu à son encontre que le délit de violence avec arme, en l’occurrence la voiture.Il a laissé sa compagne blesséeL’homme de 44 ans sera jugé par le tribunal correctionnel de Toulon le 13 février. Il répondra également des chefs de conduite en état alcoolique, refus d’obtempérer aggravé, non-assistance à personne en péril, - sa compagne qu’il avait laissée blessée dans la voiture -, refus de se soumettre au dépistage de produits stupéfiants dans le sang et vol avec effraction du véhicule.« Étant en récidive légale, il encourt au maximum une peine de 14 ans d’emprisonnement », a précisé le parquet. L’état de sa compagne, grièvement blessée par deux balles tirées par les policiers, « s’est amélioré » selon le parquet. Elle s’est vue prescrire 90 jours d’incapacité totale de travail (ITT).Les deux policiers, qui avaient été placés en garde à vue immédiatement après les faits, sont ressortis dans la matinée de jeudi.

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Villepinte : démasqué par hasard par un chien renifleur, le voisin d’un trafiquant cachait lui-même de la drogue

Le flair de leur chien renifleur a permis aux policiers de faire d’une pierre deux coups. Mardi dernier, très tôt, les fonctionnaires du commissariat de Villepinte ont interpellé simultanément quatre trafiquants de drogue présumés, chacun à leur domicile de l’avenue Salvador-Allende. Le résultat d’un mois de surveillances policières.Ces quatre hommes âgés de 18 ans à 25 ans sont tous défavorablement connus des services de police pour des faits similaires. Ils ont été arrêtés en possession, à eux tous, de 2 kg de produits stupéfiants, principalement de la résine de cannabis, et de 10 000 euros en liquide.Leur arrestation en a permis une autre, en prime. Car le chien renifleur auquel les policiers ont eu recours dans le cadre de leurs perquisitions a marqué devant la porte du voisin d’un des quatre suspects interpellés. Après y avoir été habilitées, les forces de l’ordre ont pénétré à l’intérieur de cet appartement et ont appréhendé l’occupant.Une arme de poing a été retrouvée sur place, ainsi qu’un kilo de produits stupéfiants mêlant herbe, résine de cannabis et cocaïne et 5 000 euros en liquide. S’il n’est pas associé aux quatre dealeurs présumés, le suspect âgé d’une quarantaine d’années est lui aussi très défavorablement connu des services de police. Il sera convoqué ultérieurement devant le tribunal correctionnel de Bobigny pour être jugé.

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24 000 euros en deux ans : gardienne de la paix à Paris, elle vendait des fichiers de police sur Snapchat avec son petit ami

« Si tu as besoin de savoir si tu es recherché ou si tu as une commission rogatoire, passe en privé. » Voici le message incrusté sur l’image d’un policier avec un bélier à la main que l’on pouvait trouver sur un compte Snapchat. Ce service atypique était proposé par une policière parisienne de 25 ans et son compagnon de 31 ans qui ont été déférés, mercredi, devant le parquet de Versailles (Yvelines), pour des faits de corruption passive et active et de détournement de fichiers de police.Ils sont soupçonnés d’avoir, depuis le début de l’année 2024 à Paris, en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, vendu de nombreuses informations confidentielles à des voyous. Après son passage devant le procureur, ce duo a été remis en liberté sous contrôle judiciaire avec une convocation devant le tribunal correctionnel pour le 15 juin 2026.

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« La police va très mal » : le syndicat Alliance prévoit des rassemblements fin janvier pour dénoncer le manque de moyens

En colère. Le syndicat Alliance Police nationale a annoncé vendredi dans un communiqué « des rassemblements citoyens ou des marches citoyennes » le 31 janvier pour dénoncer le manque de moyens humains et matériels et « l’incertitude politique ».« La France s’enfonce dans une crise sécuritaire, nourrie par des renoncements politiques répétés et un affaiblissement continu de l’autorité de l’État », considère le syndicat. Qui dénonce « l’incertitude politique, (les) renoncements répétés et (les) budgets chaque année insuffisants pour rivaliser avec la criminalité, celui de 2026 étant de plus hypothétique ».« Nos collègues assurent la sécurité des Français avec professionnalisme et courage mais sans les moyens humains, matériels, logistiques et juridiques nécessaires », est-il ajouté. « Sans moyens adaptés, sans unité institutionnelle et sans une justice qui protège les honnêtes citoyens, aucune politique de sécurité crédible n’est possible », est-il écrit.« Crise profonde »Selon Alliance, « la police nationale va très mal, les policiers, quelle que soit la filière métier, et les personnels administratifs, techniques et scientifiques du ministère de l’Intérieur sont à bout », tandis que « les citoyens, eux, n’en peuvent plus de subir l’insécurité ». « Des rassemblements citoyens ou des marches citoyennes » seront donc organisés le 31 janvier « sur l’ensemble du territoire ».Les syndicats Alliance et Un1té (FO) avaient organisé en octobre des actions de sensibilisation sur « la crise profonde » de la filière investigation, qui manque de moyens humains et matériels pour gérer le stock de plus de trois millions de procédures judiciaires en attente de traitement.

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Attaque à l'explosif, tirs... une fabrique de bijoux braquée

Ce vendredi, un commando armé a braqué une manufacture de bijoux à Besançon (Doubs), emportant des métaux précieux. La scène a été filmée par un automobiliste. C'est lorsqu'ils ont pris la fuite que les coups de feu ont retenti. Les policiers qui int ervenaient ont été pris pour cible. Heureusement, ces derniers ont pu s'extraire rapidement du véhicule. Une opération de déminage est actuellement en cours sur la zone industrielle attaquée, où des explosifs non déclenchés ont été retrouvés.

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Un policier niçois, suspecté d’avoir été en lien avec un réseau des Balkans, a été mis en examen

Un policier de Nice a été mis en examen lundi à Paris, soupçonné de blanchiment, de corruption et d’association de malfaiteurs en lien avec un réseau des Balkans, a indiqué jeudi à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de Nice Matin. Il a été placé sous contrôle judiciaire, a précisé cette source. « Outre l’obligation de pointage, il lui est interdit d’exercer sa profession, de se rendre dans les Alpes-Maritimes et d’entrer en contact avec les autres personnes mises en cause », explique Nice Matin.Le parquet de Paris avait indiqué dimanche que ce policier de 47 ans avait été placé en garde à vue la semaine passée et qu’il devait être présenté lundi à un juge d’instruction spécialisé dans la criminalité organisée (Junalco) en vue d’une possible mise en examen. Le parquet n’a depuis pas communiqué sur ce dossier. Une information judiciaire plus large est ouverte depuis 2022 notamment des chefs de trafic de produits stupéfiants, blanchiment, association de malfaiteurs et corruption, selon le parquet.Nice-Matin a indiqué jeudi que « contrairement à certaines informations initialement diffusées », ce fonctionnaire n’a jamais exercé à la Police aux frontières (PAF) et n’est de son côté pas poursuivi pour trafic de stupéfiants. « L’enquête, toujours en cours, prévoit encore l’audition d’au moins 16 personnes, notamment au sein de la PAF, des douanes et du secteur de la sécurité privée », explique le journal.

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Le FigaroLe Figaro
Refus d’obtempérer à Toulon : les policiers accusés d’avoir blessé une passagère relâchés sans poursuite
La CroixLa Croix
Toulon : une personne grièvement blessée après un refus d’obtempérer
Le MondeLe Monde
Refus d’obtempérer à Toulon : une passagère blessée par des tirs policiers ; les policiers relâchés
Europe 1Europe 1
Toulon : la passagère d'une voiture blessée par des tirs de police après un refus d'obtempérer
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Seine-Saint-Denis : saisie impressionnante de 3 500 bouteilles de protoxyde d’azote dans un box

C’est une saisie des plus spectaculaires qui a eu lieu mardi soir à Bondy (Seine-Saint-Denis). Ce soir-là, des policiers patrouillent dans le secteur de la route d’Aulnay quand ils aperçoivent trois individus en train d’effectuer une transaction. Ces trois personnes sont aux abords d’un box, ouvert.À la vue de la scène, les fonctionnaires de police s’approchent du box et découvrent un véritable magasin. À l’intérieur, plusieurs palettes qui supportent des cartons totalement neufs. Dans ces cartons, de nombreuses bouteilles de protoxyde d’azote, très nombreuses même. D’après la préfecture de police, 3 472 bouteilles très exactement ont été saisies lors de cette opération.Selon une source policière, les trois personnes impliquées dans la transaction ont été placées en garde à vue. Toujours selon la préfecture de police, 425 bouteilles avaient été saisies et 118 verbalisations (dont 68 pour des faits délictuels) ont été effectuées dont dans la région parisienne sur le dernier mois, avant l’immense saisie de Bondy.

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Il ne répondait que « pulsion » : les policiers qui ont arrêté Dominique Pelicot racontent le jour où ils l’ont arrêté

Près d’un mois après avoir été décorés, deux policiers qui ont permis de démasquer Dominique Pelicot sortent du silence. Âgés aujourd’hui de 52 et 42 ans, Laurent et François racontent à Vaucluse Matin, dans un article publié ce vendredi, leur patrouille dans Carpentras (Vaucluse) du 12 septembre 2020. Celle qui a abouti au placement en garde à vue de l’homme condamné à 20 ans de prison dans l’affaire des « viols de Mazan ».Ce jour-là, les deux policiers du Groupe de sécurité de proximité (GSP) entendent un message à la radio qui leur signale qu’un homme s’est fait prendre en train de filmer sous les jupes de femmes, dans un supermarché de la ville. « D’habitude, c’est la PS (police secours) qui intervient à Leclerc. À ce moment-là, les collègues sont occupés, alors on nous demande de prendre », relate l’un d’entre eux.Sur place, les deux hommes découvrent « un petit vieux très bien habillé. Un joli polo de marque, un short et des petites chaussures. Plutôt classe. On lui aurait presque donné le bon Dieu sans confession ». Laurent lui dit alors « Quand même, faire ça à votre âge ! ». Une phrase à laquelle Dominique Pelicot ne répondra qu’un seul mot : « pulsion ».« Il ne répondait que pulsion »Auprès de nos confrères, les deux policiers se souviennent avoir trouvé que les vidéos étaient « vraiment bien filmées ». Ils ont l’intuition qu’ils ne sont pas face à un simple voyeur et recherchent alors les victimes dans les rayons du magasin afin d’obtenir un dépôt de plainte.Dominique Pelicot « avait des réactions spontanées. Par contre, jamais il ne nous a dit s’il vous plaît, ne le dites pas à ma femme et mes enfants. C’était bizarre. Et puis, il n’a pas montré le moindre regret », indique l’un des policiers. L’un des deux hommes décide de ramener l’une des victimes au commissariat pour déposer plainte.Dominique Pelicot n’a alors qu’une requête, celle de récupérer son chien qui est dans sa voiture. À ce moment-là, les agents observent alors un changement de comportement. « On a vu un homme heureux. Il lui faisait des câlins. On le sentait très proche de son chien, par contre il ne disait toujours rien au sujet de sa famille. Et quand on lui parlait, il ne répondait que pulsion. »« Il n’y aurait jamais rien eu de découvert »Les deux policiers pensent avoir mis la main sur un pédophile. Sur le chemin pour se rendre au domicile de Dominique Pélicot, ils décrivent un homme qui n’est pas plus inquiet que ça. Alors qu’ils saisissent son matériel informatique, ils observent un mis en cause « sans émotion » et une maison « bien rangée ». C’est de retour au commissariat qu’ils découvrent sur les ordinateurs ses agissements sur sa compagne, Gisèle Pelicot, révélant ainsi l’affaire des viols de Mazan. Sans leur intuition, « il n’y aurait certainement jamais eu de perquisition », relève François auprès de Vaucluse matin, « il n’y aurait jamais rien eu de découvert et il serait passé à la trappe. »Dominique Pelicot a été condamné à 20 ans de prison pour avoir violé, drogué et livré son ex-épouse, Gisèle Pelicot, à des inconnus pendant plusieurs années. Les 50 autres condamnés ont écopé de peines allant de trois ans de prison, dont deux avec sursis, à 15 ans.

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« Ils ont tout emmené ! » : Pièces d’or, lingot, bijoux… Un octogénaire de Seine-et-Marne dépouillé par de faux policiers

Alain se souviendra longtemps de ce 16 décembre 2025. Ce jour-là, cet octogénaire est seul chez lui, à La Brosse-Montceaux (Seine-et-Marne), commune limitrophe de l’Yonne. Il fait la vaisselle et s’apprête à partir de chez lui quand deux hommes font irruption dans sa maison.« Ils avaient une cagoule noire, je ne voyais pas leurs visages. Et ils commencent à me dire ‘Ne bougez pas, c’est la BAC ! On a suivi des voleurs, ils sont rentrés chez vous’ », témoigne auprès du Parisien Alain, quelques jours après les faits.Les faux policiers refusent de donner leurs papiersTrès surpris par ce qu’il vient d’entendre, le retraité répond qu’il est impossible qu’il n’ait pas remarqué la présence de voleurs chez lui. « J’étais dans le salon et j’ai fermé la porte quelques minutes auparavant. J’allais partir de chez moi », explique Alain, qui devient alors suspicieux. Il demande aux deux intrus leurs cartes de police.Les deux hommes refusent. « Ils me disent que c’est comme ça et puis c’est tout », poursuit l’octogénaire. La conversation se poursuit. Pendant que l’un des policiers continue d’affirmer à Alain qu’il a été cambriolé, l’autre échange en permanence avec ce qui ressemble à un talkie-walkie.« Vous avez quoi là-haut ? »« Là, ils me demandent de les suivre pour vérifier où on a pu me voler des choses. Je regarde dans la cuisine, la salle à manger… Je ne vois rien de changé. J’ai un peu d’argent dans un tiroir pour les étrennes mais ce n’est pas grand-chose. Rien n’a bougé », explique celui qui collectionne plusieurs objets anciens chez lui.Après avoir remarqué que la porte de son salon a été fracturée, Alain est invité par ses deux invités surprise à aller voir à l’étage. « Vous avez quoi là-haut ? », lui demande-t-on. Dans un grenier, Alain entrepose diverses pièces en or et autres objets de valeur. Un des hommes monte d’abord, tandis qu’Alain reste au rez-de-chaussée.Une fois à l’étage, il voit son bureau et un lit défaits, un tiroir ouvert, un matelas par terre. « Ah, vous voyez ! », lui lance un des soi-disant policiers. Puis l’état des lieux improvisé se poursuit. Et les voleurs touchent au but : les louis d’or et bijoux d’Alain.À la vue des boîtes, les deux individus demandent à l’homme de descendre chercher du produit à vitre. « Je vais en bas avec un des deux pendant que l’autre reste en haut. Il me dit qu’il doit faire l’inventaire des objets. Et son collègue me fait perdre du temps, en me disant qu’il faut tel torchon et pas un autre… », soupire la victime.De retour à l’étage, Alain ne comprend plus rien. Ses boîtes ont disparu. « Celui avec son talkie-walkie fait mine d’appeler des collègues à l’extérieur. Il dit que les voleurs ont été interpellés. Pendant ce temps, son collègue passe le produit à vitre partout », poursuit-il.Pièces d’or, lingot, éventail en ivoire, bijoux…Puis tout s’accélère. De retour dans le salon, Alain est violemment poussé par un des deux voleurs sur son canapé. Les deux hommes prennent la fuite et grimpent dans une voiture. Alain a beau crier « Au voleur ! », il est déjà trop tard. Il vient de se faire cambrioler, presque sous ses yeux. Et le préjudice est immense, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers d’euros.Pièces d’or, lingot, médailles, éventail en ivoire, bijoux… La liste des objets de collection est immense. « Ils ont tout emmené ! », s’attriste Alain, qui a depuis porté plainte. « Depuis lundi, il m’arrive de pleurer en repensant à tout ça. J’avais prévu de transmettre ces objets à mes enfants, voire de les échanger contre de l’argent. Mais là, ce n’est plus possible », souffle-t-il.Après une venue des policiers à son domicile et des tentatives de relevés d’empreintes, Alain espère que les autorités pourront mettre la main sur ceux qui lui ont dérobé tous ses trésors. Il aurait bien aimé aiguiller la police en relevant la plaque d’immatriculation. Mais impossible. Les deux voleurs avaient sciemment posé un morceau de scotch dessus.

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Besançon : des policiers pris pour cible lors d'un braquage contre une manufacture de bijoux
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Besançon : violent braquage dans une manufacture de bijoux, les malfrats tirent sur les policiers
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Doubs. Un braquage tourne mal à Besançon : les policiers se font tirer dessus par les malfaiteurs
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Doubs. Un braquage tourne mal à Besançon : les policiers se font tirer dessus par les malfaiteurs