


Il provoque la colère des agriculteurs: l'accord de libre-échange du Mercosur. Signé le 6 décembre 2024, sa ratification devrait intervenir dans les prochains jours.

Le potager ne connaît pas de repos hivernal, même lorsque les températures sont en chute libre. Voici quelques légumes que vous pouvez semer par temps froid.

59% des Français sont disposés à se reporter sur un candidat qui ne bénéficie pas de leurs faveurs politiques afin d'empêcher LFI de l’emporter aux prochaines municipales. Ce chiffre dépasse de loin les 44% qui se disent prêts à faire de même contre le RN, selon un sondage Odoxa pour Public Sénat et la presse régionale. C’est au sein de la droite et du centre que le sentiment anti-LFI s’exprime avec le plus de force.

Alors que l'épidémie de dermatose nodulaire menace de devenir politique, Annie Genevard assure que "la situation est sous contrôle" et précise que la "discussion est ouverte" quant à la stratégie à adopter. Patrick Vignal, ancien député Renaissance de l'Hérault, était en direct sur BFMTV.

C’est un chiffre qui n’attire pas l’œil au premier regard. Mais qui interpelle les élus, de gauche comme de droite, à la seconde lecture. Dans un sondage exclusif Ipsos pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, publié ce samedi 13 décembre, les deux candidats de l’extrême droite à Paris, Thierry Mariani (RN-UDR) et Sarah Knafo (Reconquête), obtiendraient 7 % des votes chacun. 14 points à eux deux, c’est plus que les voix accordées à Sophia Chikirou (LFI) à 12 % ou Pierre-Yves Bournazel (Horizons Renaissance) à 13 %. Et même autant que le candidat écologiste, David Belliard.

Par AFP © 2025 AFP Une liste d'union de la gauche conduite par le socialiste Emmanuel Grégoire, sans LFI, arriverait en tête du premier tour des municipales à Paris, devant celle de la droite menée par Rachida Dati, selon un sondage Ipsos pour Le Parisien.Quatre listes sont en mesure de se qualifier au second tour en mars 2026, pouvant donner lieu à une quadrangulaire, selon ce sondage publié samedi. Une liste d'alliance menée par Emmanuel Grégoire, soutenue par les Ecologistes et le Parti communiste, qui est actuellement en négociation, remporterait 32% des suffrages au premier tour du scrutin, devant la liste de la candidate des LR Rachida Dati, soutenue par le MoDem, qui en recueillerait 27%.Dans un sondage Ifop paru en novembre, la ministre de la Culture et maire du 7e arrondissement distanciait, avec le même score, son concurrent socialiste, ex-premier adjoint à la maire sortante Anne Hidalgo, donné alors à seulement entre 20 à 22% en fonction des différentes stratégies d'union à gauche.Selon l'enquête d'Ipsos, la liste de Rachida Dati devance nettement celle du candidat Horizons Pierre-Yves Bournazel, soutenue par Renaissance, créditée de 14% des intentions de vote. Sophia Chikirou, tête de liste LFI, est donnée à 13%.Une fusion de la liste LFI avec le PS semble exclue, Sophia Chikirou ayant déclaré fin novembre qu'il "ne faut pas qu'un socialiste soit maire de Paris", tandis qu'Emmanuel Grégoire a toujours écarté des discussions avec la députée insoumise.Si les socialistes et les écologistes se présentaient séparément, Emmanuel Grégoire (20%) devancerait le candidat écologiste David Belliard (14%). Rachida Dati virerait alors en tête à l'issue du premier tour, à 27% toujours.Socialistes et écologistes sont engagés depuis plus de trois mois dans de difficiles négociations sur une union dès le premier tour, ce qui serait une première depuis que la gauche dirige la capitale. Un accord est néanmoins annoncé comme proche.Au coeur des discussions: le nombre de conseillers de Paris, les futurs postes d'adjoints à l'Hôtel de Ville et surtout les mairies d'arrondissements, le PS ayant selon plusieurs sources proposé aux Ecologistes de leur céder une de leurs mairies s'ils acceptaient de se joindre à Emmanuel Grégoire.A l'extrême droite, la liste du RN de Thierry Mariani est créditée de 7% des intentions de vote, ex aequo avec celle de Sarah Knafo, candidate potentielle mais non encore déclarée du parti d'Eric Zemmour Reconquête.Le sondage a été réalisé en ligne du 5 au 12 décembre sur un échantillon de 849 habitants de Paris, représentatif de la population parisienne inscrite sur les listes électorales (méthode des quotas).




Dans les indiscrétions politiques de Challenges cette semaine, retrouvez aussi la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon qui veut mobiliser contre Bardella et Bolloré ou encore le parti Les Républicains qui dispose de moins de trésorerie que le RN ou Renaissance.

TRIBUNE. Il suffit de regarder comment se répartissent 100 euros de dépenses publiques pour mesurer un décalage évident : notre conception de la « protection » ne correspond plus aux risques du monde d’aujourd’hui et de demain, estime Grégory Allione, eurodéputé Renaissance.

Méthode de campagne, potentielle alliance, place dans les sondages… Ce mercredi 10 décembre, le candidat aux municipales Pierre Jakubowicz (Horizons-Renaissance) était le premier invité du cycle “Face aux médias” organisé par le club de la presse à Strasbourg. Il a répondu pendant une heure aux questions de journalistes locaux.
Vote symbolique pour une hausse du budget de la défense - AFP Mis en ligne le 10/12/2025 à 20:36 Lecture zen Les députés ont massivement approuvé mercredi 10 décembre 2025 le principe d’une hausse du budget de la défense, dans un vote symbolique à l’instigation du Premier ministre Sébastien Lecornu, sans garantie toutefois que la manoeuvre dégage un chemin pour son budget de l’État.« Nous devons donner aux armées de la France les moyens d’assumer son rôle de grande puissance, de garantir notre sécurité et de défendre nos intérêts partout sur la planète », a lancé le Premier ministre, face aux députés. Pour tenter de dégager une majorité sur le budget de l’État, actuellement au Sénat, M. Lecornu (Renaissance) a proposé d’organiser au Parlement cinq débats thématiques suivis de votes. Celui de mercredi visait à valider le principe de 6,7 milliards d’euros de hausse au budget des armées.Une hausse plébiscitée : 411 députés ont voté pour (camp présidentiel, alliance RN-UDR, PS et indépendants de Liot) et seulement 88 contre (LFI et PCF). « Il nous faut désormais traduire ce large consensus en compromis sur le budget de l’État », a réagi sur X Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée.« Insincère »A contrario, la cheffe de file du Rassemblement national Marine Le Pen a accusé M. Lecornu « d’instrumentaliser le budget de la défense pour faire passer » un projet de budget de l’État « de punition sociale et fiscale ». Le RN ne le votera « en aucune façon », a-t-elle insisté. Elle a également dénoncé le fait que la dernière loi de programmation militaire (2024-2030), portée par M. Lecornu alors ministre des Armées, était « insincère » : « les surcoûts liés aux opérations extérieures, comme les dépenses liées à notre soutien à l’Ukraine, n’ont pas été couverts par les ressources additionnelles nécessaires ».Eric Coquerel, président LFI de la commission des Finances, a accusé le gouvernement de « pression » sur le Parlement, car en cas de loi spéciale pour pallier l’absence de budget « cette augmentation des dépenses militaires n’adviendra pas ». Son collègue de groupe Bastien Lachaud a lui critiqué un discours belliciste de l’exécutif : « à force d’asséner que la guerre va advenir (…) on finit par ne rien faire pour l’empêcher », a-t-il insisté, estimant que la France n’avait pas « à craindre une guerre conventionnelle avec la Russie », grâce à sa dissuasion nucléaire. À lire aussi Le budget de la Sécurité sociale est adopté, mais que prévoit le texte ? On fait le point Anna Pic (PS) a, elle, souligné qu’une hausse du budget militaire ne pourrait « être utilisée comme justification au démantèlement de nos services publics », par nécessité d’économies budgétaires.Président de la commission des Affaires européennes, Pieyre-Alexandre Anglade a lui pointé une menace conjointe venant de l’étranger, de Donald Trump et Vladimir Poutine, unis « dans une même volonté de démanteler ou d’affaiblir le projet européen ». Et l’ancien ministre LR aux Anciens combattants Jean-Louis Thiériot, a lui alerté contre une « menace à 360 degrés », entre la Russie, « les désordres en Méditerranée », et « l’incertitude sur la fiabilité » de l’Otan. Par AFP Budget de la défense : l’Assemblée plébiscite une hausse dans un vote symbolique C’est dans un large consensus (411 votes pour et 88 contre) que les députés ont approuvé mercredi 10 décembre 2025 le principe d’une hausse du budget de la défense.
À treize voix près, l'Assemblée nationale a adopté mardi 9 décembre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026. Une victoire sur le fil pour le Premier ministre Sébastien Lecornu : son budget a recueilli 247 voix contre 234, et 93 abstentions. Il a été soutenu par les députés Renaissance, du MoDem, du Parti socialiste et du groupe Liot, face au Rassemblement nationale, à l'UDR et à la France insoumise. Les Républicains, Horizons et les Écologistes se sont, eux, (…) Lire la suite - En bref / Économie , Social

L’adoption in extremis du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, le 9 décembre dernier, a mis en évidence les clivages politiques. Parmi les dix députés isérois, trois ont voté pour : Camille Galliard-Minier (Renaissance), Marie-Noëlle Battistel (PS) et Jérémie Iordanoff (Les Écologistes). Ce dernier crée la surprise … L’article PLFSS : comment ont voté les députés isérois ? est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.

En 2026, 7,4 millions de logements verront leur taxe foncière grimper de 63 euros en moyenne.

Et aussi : les forcings croisés de Wauquiez et Retailleau, Darmanin complimente Trump, tirs croisés sur la Croisette… Chaque semaine, « Le Canard » se faufille dans les coulisses de la vie politique.

Cela s’est finalement joué à 13 voix. Les députés ont adopté de peu ce mardi le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026. Sans surprise, les groupes Ensemble pour la République (Renaissance) et Démocrates (MoDem) ont voté à l’unanimité pour. À l’inverse, les 123 députés du Rassemblement national et les 71 Insoumis ont rejeté le texte en bloc.L’issue du vote restait pourtant très incertaine. Notamment du fait du refus affiché par Les Républicains et Horizons de soutenir le texte, bien que soutiens du camp gouvernemental. Les chefs des députés de ces partis, Laurent Wauquiez et Paul Christophe, avaient appelé leurs troupes à s’abstenir.Les votes des écologistes étaient également suivis de très près. Le groupe se trouvait d’une part sous la pression des socialistes qui les appelaient à la responsabilité en votant pour, et des Insoumis fermement opposés à la politique de Sébastien Lecornu, d’autre part.La présidente du groupe Écologiste et Social, Cyrielle Chatelain, avait finalement prévenu : « Si j’écoutais mon cœur, si j’écoutais mes tripes, je voterais contre », avant d’annoncer une abstention majoritaire. « Il n’y a pas de grande victoire (…) mais c’est un petit texte dans lequel nous avons évité la casse », a-t-elle défendu. Comme elle, 26 députés écologistes se sont abstenus.« J’ai voté un PLFSS considérablement amélioré »Neuf membres de ce groupe parlementaire ont toutefois voté contre, dont les ex-Insoumis François Ruffin et Clémentine Autain. Et trois se sont exprimés en faveur de la loi : Jérémie Iordanoff, Dominique Voynet et Delphine Batho. Cette dernière expliquait au Parisien, avant le vote, qu’elle soutiendrait le texte. « Ce n’est pas un PLFSS idéal. Mais presque tous les éléments de régression (franchises, gel des retraites, apprentis, etc.) ont été supprimés, et quelques avancées arrachées. Ce n’est pas un compromis parfait, mais c’est le seul possible compte tenu de la composition de l’Assemblée nationale », réagissait la députée écologiste des Deux-Sèvres.Du côté du groupe LR, 28 députés se sont abstenus, dont, sans surprise, Laurent Wauquiez lui-même. Mais 18 élus sur 49 ont choisi d’aller à rebours de la consigne de vote en approuvant le texte.Parmi eux, Corentin Le Fur, député des Côtes-d’Armor, assume dans un message sur X un soutien « de compromis ». « J’ai voté un PLFSS considérablement amélioré par le travail parlementaire et dont notre pays a réellement besoin. Nous avons notamment obtenu le non-gel des pensions de retraite, l’absence de taxation des chèques-vacances et des titres-restaurant, et l’abandon de la hausse des franchises médicales. », écrit le député LR.Neuf voix pour du côté d’HorizonsChez Horizons, le choix collectif était également l’abstention. Le président du groupe, Paul Christophe, a dénoncé « un budget qui ne prépare à rien, n’anticipe rien, et affaiblit même la France », notamment en raison de la suspension de la réforme des retraites, tout en refusant de devenir « les artisans du chaos ».Le président du parti, Édouard Philippe, avait lui aussi averti qu’il ne recommanderait pas à ses troupes de voter pas ce budget en l’état, tout en précisant ce lundi qu’il « ne proposait pas de voter contre ». Neuf députés Horizons se sont finalement détachés de la ligne de leur groupe et ont voté pour, tandis que 25 se sont abstenus. Isabelle Rauch, élue en Moselle, s’est exprimée en faveur du texte. « Je ne vais pas vous dire que c’est un bon budget ou que je l’ai voté avec plaisir. Mais il me semblait important qu’on le fasse maintenant : reporter de trois ou quatre mois aurait abouti à la même conclusion », s’est-elle expliquée auprès d’Ici.Désormais, le Premier ministre va devoir aussi s’atteler au projet de budget de l’État, qui promet d’être plus « difficile » encore à faire adopter que celui de la Sécu, selon lui.

Adopté de justesse, le budget de la Sécu a révélé un paysage politique éclaté entre soutien mesuré, abstentions stratégiques et oppositions frontales

C’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses dit un proverbe fréquemment cité par les politiques. Sauf accident, l’Assemblée nationale devrait confirmer mardi prochain son vote sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Le texte a été adopté par 247 voix contre 234. Soit 13 voix d’écart. Il aurait donc suffi que 7 voix se déplacent et le [lire la suite de l'article] Cet article Le vote sur le budget de la Sécurité sociale achève de redessiner les frontières politiques est apparu en premier sur Pure politique.

Un deuxième sondage commandé par le parti Horizons vient de sortir, à moins de 100 jours des municipales. On y découvre que l’avance au premier tour de Catherine Trautmann (PS) s’accentue (29 %). En revanche, Jean-Philippe Vetter (LR) perd huit points (16 %) et revient à hauteur de l’écologiste Jeanne Barseghian (16 %). Tandis que Pierre Jakubowicz atteint 10 % et revient presque à hauteur des 12 % de Kobryn (LFI) et des 11 % de Joron (RN).

La candidate aux élections municipales Lucile Parnaudeau vient d’être officiellement investie par le parti Renaissance, soutien de la majorité présidentielle. Il évoque une « alternative dans le camp modéré ».

Le vote solennel sur la loi de Finances 2026 et le budget de la Sécurité sociale a lieu ce mardi après-midi. LFI et RN voteront contre, Renaissance et le PS voteront pour, mais que feront les autres députés ?

Le député LIOT Charles de Courson était l'invité de La Grande interview Europe 1-CNews ce mardi. Au micro de Sonia Mabrouk, il estime que le front républicain "a volé", alors que l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy assure qu'il ne l'encouragera pas lors des prochaines élections.

Le livre de Nicolas Sarkozy racontant sa détention parait ce mercredi 10 décembre. Les « bonnes feuilles » sont déjà abondamment commentées. Dans son Journal d'un prisonnier, l'ancien président raconte ses trois semaines derrière les barreaux et livre aussi quelques messages politiques, notamment quand il évoque Marine Le Pen et le « front républicain » anti extrême droite lors d'une conversation avec la leader du Rassemblement national (RN).

L'invité du Grand entretien de Benjamin Duhamel et Florence Paracuellos est Gabriel Attal, député des Hauts-de-Seine, président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale, secrétaire général du parti Renaissance.



Éric Zemmour, président du parti Reconquête!, était l'invité de BFMTV ce dimanche 7 décembre

« Les réformateurs se satisfont de leur marasme, parent le manque d’idée des atours de la responsabilité, travestissent le défaut de courage en apothéose du compromis »

Sur la plage de Gravelines, lieu de départ de small boats vers l’Angleterre, des militants d’extrême droite britannique se sont ajoutés vendredi 5 décembre matin aux forces de l’ordre et observateurs associatifs. Une action de propagande dans un contexte d’intimidations de l’extrême droite. Reportage.

Le président du groupe Union centriste au Sénat doit être reconduit, samedi, à la présidence de son parti. Il occupe un rôle-clé au sein d’une alliance gouvernementale fragilisée et mise au défi, selon lui, de l’union pour 2027.

Dans un scrutin à suspense, l’Assemblée nationale a adopté de peu ce vendredi la partie « recettes » du projet de budget de la Sécu, un vote crucial qui permet de poursuivre les débats sur la partie dépenses et notamment la « suspension » de la réforme des retraites.La chambre basse a adopté cette partie « recettes » par 166 voix contre 140 avec le soutien des députés Renaissance, MoDem, du Parti socialiste et des indépendants de Liot.L’alliance Rassemblement national-Union des droites pour la République, la France insoumise et les écologistes ont voté contre, quand Les Républicains et Horizons, membres du camp gouvernemental, se sont majoritairement abstenus.Le scrutin a été marqué par une faible affluence pour un vote crucial (239 députés sur 577 n’ont pas participé au scrutin, dont des absents de marque comme Marine Le Pen (RN), Manuel Bompard (LFI), François Hollande (PS) ou encore le LR Michel Barnier).« Logique de compromis »« Vous nous présentez des recettes de Sécurité sociale dans lesquelles il manque des dizaines de milliers d’euros », a justifié le député LFI de la Haute-Garonne Hadrien Clouet, alors que son groupe a intégralement voté contre.« Ce n’est pas un PLFSS, c’est un projet de facturation de vos sauvetages de sièges », a également dénoncé le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy pour son groupe, où les 69 voix présentes ont voté contre.« Le débat parlementaire a porté ses fruits (..) Le débat va pouvoir se poursuivre », a de son côté réagi Bertrand Sorre, député EPR de la Manche. Quand Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, s’est dite « fière que les parlementaires se soient enfin mis dans (la) logique de compromis ».Ce résultat serré est à la fois un avertissement pour le gouvernement (les groupes RN, LFI et UDR fortement opposés peuvent mobiliser beaucoup plus de troupes au prochain vote), mais aussi une forme de succès, même temporaire, après avoir multiplié les gestes d’ouverture en espérant faire passer le texte sans 49.3.


Leurs deux condamnations définitives ont été annoncées en même temps. Devinez laquelle fait les gros titres.



Article LesVoitures.com Les Voitures « Ce qui tue les automobilistes, c’est l’assistanat », lançait Louis Sarkozy, candidat à la mairie de Menton, le mercredi […] L’article Louis Sarkozy : il faut « supprimer les feux rouges, les lignes blanches, les panneaux de signalisation » est apparu en premier sur Les Voitures.

La dernière vague de l’Eurobazooka, un baromètre des opinions publiques européennes réalisé par Cluster 17 pour le Grand Continent, publiée aujourd’hui, jeudi 4 décembre, montre que 24 % des Français sont favorables à un pouvoir plus centralisé et plus autoritaire. Il s’agit du taux le plus élevé en Europe, parmi les neuf pays sondés. L’article Sondage exclusif : la France est le pays européen où le désir d’un pouvoir autoritaire est le plus fort est apparu en premier sur Le Grand Continent.
Maxime Cordier, principal négociateur du rapprochement de Renaissance avec Jean-Michel Aulas, chef de file d'une liste lyonnaise englobant tout le [...]

ANALYSE - Le chef d’Horizons s’oppose toujours à un recul sur la réforme des retraites, au point d’appeler ses députés à ne pas soutenir le budget de la Sécurité sociale.

Les députés ont recommencé à plancher sur le projet de budget de la Sécurité sociale, à l'avenir très incertain, avec encore des compromis à trouver à gauche et une coalition gouvernementale qui affiche ses divisions.

Sandrine Le Feur, présidente de la commission où était convoquée la marque de fast fashion, a annoncé une saisine de la procureure de la République.


Ce 2 décembre, la CGT, Solidaires et FSU appellent à battre le pavé, alors que les discussions autour des lois de finances s’enlisent. Les perspectives austéritaires inquiètent les centrales, mais aussi le monde associatif.


François de Beaulieu a dirigé le tout récent « Dictionnaire des monts d’Arrée », une impressionnante somme de 568 articles richement illustrés et consacrés à ce territoire unique – et attractif : depuis 2020, la population y augmente dans neuf communes sur douze. Le naturaliste morlaisien répond aux questions de « Bretons ».
La députée Renaissance de la Marne est satisfaite de l’annonce d’Emmanuel Macron qui va dans le sens de sa proposition de loi.

IPatrick Vignal, ancien député et porte-parole de Renaissance, était l'invité de BFMTV ce vendredi 28 novembre.


Le parti Renaissance va commencer ce week-end une campagne de tractage et de collage dans plusieurs dizaines de départements contre le Rassemblement national. L'angle d'attaque: les votes du RN durant les débats budgétaires à l'Assemblée nationale.

À droite, la “Sciences Po connection”Le monde est petit. Surtout celui de la droite universitaire ! En errant dans les couloirs de Sciences Po au début des années 2010, vous... L’article Dati fait le ménage, Bertrand ne vend pas, Mélenchon à l’assaut des villes : les coulisses politiques de la semaine est apparu en premier sur Valeurs actuelles.

Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale a été revu par le Sénat, avec un déficit prévisionnel à 17,6 milliards en 2026, contre 23 milliards en 2025. La copie de l'Assemblée nationale prévoyait elle un déficit à plus de 24 milliards d'euros. La suspension de la réforme des retraites fait partie des mesures supprimées au Sénat.
CSG. Ce mercredi 27 novembre se tiendra la journée d’initiative parlementaire du groupe de la France insoumise – aussi dite « journée de niche parlementaire » – seul jour de l’année où les député·es LFI seront libres d’inscrire leurs propositions à l’ordre du jour de l’Assemblée. Au programme de cette journée, neuf textes, dont voici la […]


Plus on approche de la fin, plus on est inexcusable de ne pas tenter une approche équilibrée et honnête du dernier mandat d’Emmanuel Macron... L’article Pas mieux que lui? est apparu en premier sur Causeur.

Chaque jour est un épisode de plus dans les bisbilles entre Renaissance Aisne et le député RN de la circonscription du sud de l’Aisne. La dernière en date est une critique de député sur une publication Facebook du parti de président dans l’Aisne. Renaissance Aisne a récemment écrit sur Facebook une publication sous la plume […] L’article Aisne. Les bisbilles entre Renaissance Aisne et le député RN Jocelyn Dessigny continuent est apparu en premier sur Oise Hebdo.

Le dernier baromètre Odoxa de novembre 2025 confirme l’impopularité persistante d’Emmanuel Macron. À l’inverse, Sébastien Lecornu profite d’une dynamique favorable dans un climat politique pourtant très tendu.

Après les plateaux télé et les librairies, le bashing anti-LFI s’invite au sein des commissions parlementaires. Initiée par Laurent Wauquiez et le groupe Droite Républicaine, la commission consacrée aux « les liens existants entre les représentants de…

RIPOSTE. Le patron de Renaissance étrille un budget « noyé sous les taxes » par le RN et la gauche. Et, au passage, marque nettement ses distances avec Édouard Philippe, Bruno Retailleau… et même Emmanuel Macron.


Les personnalités politiques ont pris l’habitude, ces dernières années, d’écrire lors de leur temps libre. Certains ouvrages remportent le succès, d’autres non. Selon le classement GFK, relayé par Le Parisien,... L’article Ventes de livres : Bardella et Zemmour en hausse, Tondelier et Royal font un bide est apparu en premier sur Valeurs actuelles.
