menulogo
Actualités 24
light modedark mode
notifications
Notifications
notifications
Aucune notification non lue.
user
Close

Renaissance

FollowSuivre
À suivre
Actualités et analyses autour du parti Renaissance, ses positions politiques et son rôle dans la vie politique française.
News Image
Municipales : le front « anti-LFI » désormais plus fort que le front « anti-RN »

59% des Français sont disposés à se reporter sur un candidat qui ne bénéficie pas de leurs faveurs politiques afin d'empêcher LFI de l’emporter aux prochaines municipales. Ce chiffre dépasse de loin les 44% qui se disent prêts à faire de même contre le RN, selon un sondage Odoxa pour Public Sénat et la presse régionale. C’est au sein de la droite et du centre que le sentiment anti-LFI s’exprime avec le plus de force.

Source LogoPublic Sénat
News Image
« Ça ne change rien » : comment les LR jugent la montée de l’extrême droite pour les municipales à Paris

C’est un chiffre qui n’attire pas l’œil au premier regard. Mais qui interpelle les élus, de gauche comme de droite, à la seconde lecture. Dans un sondage exclusif Ipsos pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, publié ce samedi 13 décembre, les deux candidats de l’extrême droite à Paris, Thierry Mariani (RN-UDR) et Sarah Knafo (Reconquête), obtiendraient 7 % des votes chacun. 14 points à eux deux, c’est plus que les voix accordées à Sophia Chikirou (LFI) à 12 % ou Pierre-Yves Bournazel (Horizons Renaissance) à 13 %. Et même autant que le candidat écologiste, David Belliard.

Source LogoLe Parisien
News Image
Municipales à Paris: la gauche unie, sans LFI, devant Dati au 1er tour selon un sondage

Par AFP © 2025 AFP Une liste d'union de la gauche conduite par le socialiste Emmanuel Grégoire, sans LFI, arriverait en tête du premier tour des municipales à Paris, devant celle de la droite menée par Rachida Dati, selon un sondage Ipsos pour Le Parisien.Quatre listes sont en mesure de se qualifier au second tour en mars 2026, pouvant donner lieu à une quadrangulaire, selon ce sondage publié samedi. Une liste d'alliance menée par Emmanuel Grégoire, soutenue par les Ecologistes et le Parti communiste, qui est actuellement en négociation, remporterait 32% des suffrages au premier tour du scrutin, devant la liste de la candidate des LR Rachida Dati, soutenue par le MoDem, qui en recueillerait 27%.Dans un sondage Ifop paru en novembre, la ministre de la Culture et maire du 7e arrondissement distanciait, avec le même score, son concurrent socialiste, ex-premier adjoint à la maire sortante Anne Hidalgo, donné alors à seulement entre 20 à 22% en fonction des différentes stratégies d'union à gauche.Selon l'enquête d'Ipsos, la liste de Rachida Dati devance nettement celle du candidat Horizons Pierre-Yves Bournazel, soutenue par Renaissance, créditée de 14% des intentions de vote. Sophia Chikirou, tête de liste LFI, est donnée à 13%.Une fusion de la liste LFI avec le PS semble exclue, Sophia Chikirou ayant déclaré fin novembre qu'il "ne faut pas qu'un socialiste soit maire de Paris", tandis qu'Emmanuel Grégoire a toujours écarté des discussions avec la députée insoumise.Si les socialistes et les écologistes se présentaient séparément, Emmanuel Grégoire (20%) devancerait le candidat écologiste David Belliard (14%). Rachida Dati virerait alors en tête à l'issue du premier tour, à 27% toujours.Socialistes et écologistes sont engagés depuis plus de trois mois dans de difficiles négociations sur une union dès le premier tour, ce qui serait une première depuis que la gauche dirige la capitale. Un accord est néanmoins annoncé comme proche.Au coeur des discussions: le nombre de conseillers de Paris, les futurs postes d'adjoints à l'Hôtel de Ville et surtout les mairies d'arrondissements, le PS ayant selon plusieurs sources proposé aux Ecologistes de leur céder une de leurs mairies s'ils acceptaient de se joindre à Emmanuel Grégoire.A l'extrême droite, la liste du RN de Thierry Mariani est créditée de 7% des intentions de vote, ex aequo avec celle de Sarah Knafo, candidate potentielle mais non encore déclarée du parti d'Eric Zemmour Reconquête.Le sondage a été réalisé en ligne du 5 au 12 décembre sur un échantillon de 849 habitants de Paris, représentatif de la population parisienne inscrite sur les listes électorales (méthode des quotas).

Source LogoTV5 MONDE
Le FigaroLe Figaro
Consultations, conseil des ministres... Face à l’urgence budgétaire, les préparatifs de la «loi spéciale» s’accélèrent
La TribuneLa Tribune
Budget : le Parlement s’organise pour éviter un « shutdown » à la française
France 24France 24
Budget : le gouvernement planche sur une "loi spéciale" en urgence pour éviter un "shutdown"
l'Opinionl'Opinion
Loi spéciale : un ersatz de budget qui ne peut être que temporaire
La Dépêche du MidiLa Dépêche du Midi
VRAI OU FAUX. La France envisage-t-elle vraiment de renoncer à sa souveraineté sur des îles du Pacifique au profit du Vanuatu ?
BFMTVBFMTV
Hunter et Matthew, ces deux îlots français, pourraient être cédés au Vanuatu
Le Canard enchaînéLe Canard enchaîné
Pacifique Debout la France australe !
Ouest FranceOuest France
Pourquoi ces deux « cailloux » perdus dans le Pacifique empoisonnent-ils les relations entre la France et le Vanuatu ?
Le ParisienLe Parisien
Municipales 2026 à Toulouse : le candidat qui veut renommer la Ville rose publie des petites annonces pour trouver ses colistiers
Le ParisienLe Parisien
Municipales 2026 à Évry : le maire sortant et la députée, candidate LFI, règlent leurs comptes
France 24France 24
"Les socialistes et LR jouent une partie de leur vie politique sur les municipales"
L'Éveil NormandL'Éveil Normand
Municipales 2026 à Bernay : Max Lemonnier, un samouraï en campagne
Budget de la défense : l’Assemblée plébiscite une hausse dans un vote symbolique

Vote symbolique pour une hausse du budget de la défense - AFP Mis en ligne le 10/12/2025 à 20:36 Lecture zen Les députés ont massivement approuvé mercredi 10 décembre 2025 le principe d’une hausse du budget de la défense, dans un vote symbolique à l’instigation du Premier ministre Sébastien Lecornu, sans garantie toutefois que la manoeuvre dégage un chemin pour son budget de l’État.« Nous devons donner aux armées de la France les moyens d’assumer son rôle de grande puissance, de garantir notre sécurité et de défendre nos intérêts partout sur la planète », a lancé le Premier ministre, face aux députés. Pour tenter de dégager une majorité sur le budget de l’État, actuellement au Sénat, M. Lecornu (Renaissance) a proposé d’organiser au Parlement cinq débats thématiques suivis de votes. Celui de mercredi visait à valider le principe de 6,7 milliards d’euros de hausse au budget des armées.Une hausse plébiscitée : 411 députés ont voté pour (camp présidentiel, alliance RN-UDR, PS et indépendants de Liot) et seulement 88 contre (LFI et PCF). « Il nous faut désormais traduire ce large consensus en compromis sur le budget de l’État », a réagi sur X Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée.« Insincère »A contrario, la cheffe de file du Rassemblement national Marine Le Pen a accusé M. Lecornu « d’instrumentaliser le budget de la défense pour faire passer » un projet de budget de l’État « de punition sociale et fiscale ». Le RN ne le votera « en aucune façon », a-t-elle insisté. Elle a également dénoncé le fait que la dernière loi de programmation militaire (2024-2030), portée par M. Lecornu alors ministre des Armées, était « insincère » : « les surcoûts liés aux opérations extérieures, comme les dépenses liées à notre soutien à l’Ukraine, n’ont pas été couverts par les ressources additionnelles nécessaires ».Eric Coquerel, président LFI de la commission des Finances, a accusé le gouvernement de « pression » sur le Parlement, car en cas de loi spéciale pour pallier l’absence de budget « cette augmentation des dépenses militaires n’adviendra pas ». Son collègue de groupe Bastien Lachaud a lui critiqué un discours belliciste de l’exécutif : « à force d’asséner que la guerre va advenir (…) on finit par ne rien faire pour l’empêcher », a-t-il insisté, estimant que la France n’avait pas « à craindre une guerre conventionnelle avec la Russie », grâce à sa dissuasion nucléaire. À lire aussi Le budget de la Sécurité sociale est adopté, mais que prévoit le texte ? On fait le point Anna Pic (PS) a, elle, souligné qu’une hausse du budget militaire ne pourrait « être utilisée comme justification au démantèlement de nos services publics », par nécessité d’économies budgétaires.Président de la commission des Affaires européennes, Pieyre-Alexandre Anglade a lui pointé une menace conjointe venant de l’étranger, de Donald Trump et Vladimir Poutine, unis « dans une même volonté de démanteler ou d’affaiblir le projet européen ». Et l’ancien ministre LR aux Anciens combattants Jean-Louis Thiériot, a lui alerté contre une « menace à 360 degrés », entre la Russie, « les désordres en Méditerranée », et « l’incertitude sur la fiabilité » de l’Otan. Par AFP Budget de la défense : l’Assemblée plébiscite une hausse dans un vote symbolique C’est dans un large consensus (411 votes pour et 88 contre) que les députés ont approuvé mercredi 10 décembre 2025 le principe d’une hausse du budget de la défense.

Source LogoParis Normandie
Sécurité sociale : retraite, congé de naissance... ce que contient le budget voté par les députés

À treize voix près, l'Assemblée nationale a adopté mardi 9 décembre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026. Une victoire sur le fil pour le Premier ministre Sébastien Lecornu : son budget a recueilli 247 voix contre 234, et 93 abstentions. Il a été soutenu par les députés Renaissance, du MoDem, du Parti socialiste et du groupe Liot, face au Rassemblement nationale, à l'UDR et à la France insoumise. Les Républicains, Horizons et les Écologistes se sont, eux, (…) Lire la suite - En bref / Économie , Social

Source LogoReporterre
News Image
PLFSS : comment ont voté les députés isérois ?

L’adoption in extremis du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, le 9 décembre dernier, a mis en évidence les clivages politiques. Parmi les dix députés isérois, trois ont voté pour : Camille Galliard-Minier (Renaissance), Marie-Noëlle Battistel (PS) et Jérémie Iordanoff (Les Écologistes). Ce dernier crée la surprise … L’article PLFSS : comment ont voté les députés isérois ? est apparu en premier sur Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné.

Source LogoLes Affiches de Grenoble et du Dauphiné
News Image
Budget de la Sécu adopté : qui sont ces députés qui ont voté à contre-courant de leur groupe ?

Cela s’est finalement joué à 13 voix. Les députés ont adopté de peu ce mardi le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026. Sans surprise, les groupes Ensemble pour la République (Renaissance) et Démocrates (MoDem) ont voté à l’unanimité pour. À l’inverse, les 123 députés du Rassemblement national et les 71 Insoumis ont rejeté le texte en bloc.L’issue du vote restait pourtant très incertaine. Notamment du fait du refus affiché par Les Républicains et Horizons de soutenir le texte, bien que soutiens du camp gouvernemental. Les chefs des députés de ces partis, Laurent Wauquiez et Paul Christophe, avaient appelé leurs troupes à s’abstenir.Les votes des écologistes étaient également suivis de très près. Le groupe se trouvait d’une part sous la pression des socialistes qui les appelaient à la responsabilité en votant pour, et des Insoumis fermement opposés à la politique de Sébastien Lecornu, d’autre part.La présidente du groupe Écologiste et Social, Cyrielle Chatelain, avait finalement prévenu : « Si j’écoutais mon cœur, si j’écoutais mes tripes, je voterais contre », avant d’annoncer une abstention majoritaire. « Il n’y a pas de grande victoire (…) mais c’est un petit texte dans lequel nous avons évité la casse », a-t-elle défendu. Comme elle, 26 députés écologistes se sont abstenus.« J’ai voté un PLFSS considérablement amélioré »Neuf membres de ce groupe parlementaire ont toutefois voté contre, dont les ex-Insoumis François Ruffin et Clémentine Autain. Et trois se sont exprimés en faveur de la loi : Jérémie Iordanoff, Dominique Voynet et Delphine Batho. Cette dernière expliquait au Parisien, avant le vote, qu’elle soutiendrait le texte. « Ce n’est pas un PLFSS idéal. Mais presque tous les éléments de régression (franchises, gel des retraites, apprentis, etc.) ont été supprimés, et quelques avancées arrachées. Ce n’est pas un compromis parfait, mais c’est le seul possible compte tenu de la composition de l’Assemblée nationale », réagissait la députée écologiste des Deux-Sèvres.Du côté du groupe LR, 28 députés se sont abstenus, dont, sans surprise, Laurent Wauquiez lui-même. Mais 18 élus sur 49 ont choisi d’aller à rebours de la consigne de vote en approuvant le texte.Parmi eux, Corentin Le Fur, député des Côtes-d’Armor, assume dans un message sur X un soutien « de compromis ». « J’ai voté un PLFSS considérablement amélioré par le travail parlementaire et dont notre pays a réellement besoin. Nous avons notamment obtenu le non-gel des pensions de retraite, l’absence de taxation des chèques-vacances et des titres-restaurant, et l’abandon de la hausse des franchises médicales. », écrit le député LR.Neuf voix pour du côté d’HorizonsChez Horizons, le choix collectif était également l’abstention. Le président du groupe, Paul Christophe, a dénoncé « un budget qui ne prépare à rien, n’anticipe rien, et affaiblit même la France », notamment en raison de la suspension de la réforme des retraites, tout en refusant de devenir « les artisans du chaos ».Le président du parti, Édouard Philippe, avait lui aussi averti qu’il ne recommanderait pas à ses troupes de voter pas ce budget en l’état, tout en précisant ce lundi qu’il « ne proposait pas de voter contre ». Neuf députés Horizons se sont finalement détachés de la ligne de leur groupe et ont voté pour, tandis que 25 se sont abstenus. Isabelle Rauch, élue en Moselle, s’est exprimée en faveur du texte. « Je ne vais pas vous dire que c’est un bon budget ou que je l’ai voté avec plaisir. Mais il me semblait important qu’on le fasse maintenant : reporter de trois ou quatre mois aurait abouti à la même conclusion », s’est-elle expliquée auprès d’Ici.Désormais, le Premier ministre va devoir aussi s’atteler au projet de budget de l’État, qui promet d’être plus « difficile » encore à faire adopter que celui de la Sécu, selon lui.

Source LogoLe Parisien
News Image
Le vote sur le budget de la Sécurité sociale achève de redessiner les frontières politiques

C’est à la fin de la foire qu’on compte les bouses dit un proverbe fréquemment cité par les politiques. Sauf accident, l’Assemblée nationale devrait confirmer mardi prochain son vote sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Le texte a été adopté par 247 voix contre 234. Soit 13 voix d’écart. Il aurait donc suffi que 7 voix se déplacent et le [lire la suite de l'article] Cet article Le vote sur le budget de la Sécurité sociale achève de redessiner les frontières politiques est apparu en premier sur Pure politique.

Source LogoPure politique
News Image
Municipales 2026. Nouveau sondage : Trautmann encore plus haut, Vetter et Barseghian baissent, Jakubowicz revient

Un deuxième sondage commandé par le parti Horizons vient de sortir, à moins de 100 jours des municipales. On y découvre que l’avance au premier tour de Catherine Trautmann (PS) s’accentue (29 %). En revanche, Jean-Philippe Vetter (LR) perd huit points (16 %) et revient à hauteur de l’écologiste Jeanne Barseghian (16 %). Tandis que Pierre Jakubowicz atteint 10 % et revient presque à hauteur des 12 % de Kobryn (LFI) et des 11 % de Joron (RN).

Source LogoDNA - Les Dernières Nouvelles d'Alsace
News Image
France: aucun «front républicain» contre l'extrême droite aux prochaines élections, assume Sarkozy

Le livre de Nicolas Sarkozy racontant sa détention parait ce mercredi 10 décembre. Les « bonnes feuilles » sont déjà abondamment commentées. Dans son Journal d'un prisonnier, l'ancien président raconte ses trois semaines derrière les barreaux et livre aussi quelques messages politiques, notamment quand il évoque Marine Le Pen et le « front républicain » anti extrême droite lors d'une conversation avec la leader du Rassemblement national (RN).

Source LogoRFI
La CroixLa Croix
Nicolas Sarkozy nourrit l’idée d’une union entre droite et extrême droite
Le PointLe Point
Nicolas Sarkozy et Xavier Bertrand se déchirent sur la question du front républicain
Le MondeLe Monde
Xavier Bertrand redit son attachement au front républicain face au RN, désormais écarté par Nicolas Sarkozy
TV5 MONDETV5 MONDE
"L'union des droites" continue de faire son chemin chez Les Républicains
La CroixLa Croix
Comment la marche des oiseaux pourrait inspirer la création de robots ?
jhmjhm
Des robots agricoles Lely en lumière au Gaec du Menhir, à Rachecourt
Actu.frActu.fr
« L'IA, c'est ma secrétaire » : à l'Assemblée nationale, des robots mâchent déjà le travail des députés
Les NumériquesLes Numériques
Actualité : Voici le meilleur robot cuiseur multifonctions à prix abordable de notre comparatif
News Image
Budget de la Sécu : découvrez si votre député a voté le volet « recettes »

Dans un scrutin à suspense, l’Assemblée nationale a adopté de peu ce vendredi la partie « recettes » du projet de budget de la Sécu, un vote crucial qui permet de poursuivre les débats sur la partie dépenses et notamment la « suspension » de la réforme des retraites.La chambre basse a adopté cette partie « recettes » par 166 voix contre 140 avec le soutien des députés Renaissance, MoDem, du Parti socialiste et des indépendants de Liot.L’alliance Rassemblement national-Union des droites pour la République, la France insoumise et les écologistes ont voté contre, quand Les Républicains et Horizons, membres du camp gouvernemental, se sont majoritairement abstenus.Le scrutin a été marqué par une faible affluence pour un vote crucial (239 députés sur 577 n’ont pas participé au scrutin, dont des absents de marque comme Marine Le Pen (RN), Manuel Bompard (LFI), François Hollande (PS) ou encore le LR Michel Barnier).« Logique de compromis »« Vous nous présentez des recettes de Sécurité sociale dans lesquelles il manque des dizaines de milliers d’euros », a justifié le député LFI de la Haute-Garonne Hadrien Clouet, alors que son groupe a intégralement voté contre.« Ce n’est pas un PLFSS, c’est un projet de facturation de vos sauvetages de sièges », a également dénoncé le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy pour son groupe, où les 69 voix présentes ont voté contre.« Le débat parlementaire a porté ses fruits (..) Le débat va pouvoir se poursuivre », a de son côté réagi Bertrand Sorre, député EPR de la Manche. Quand Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, s’est dite « fière que les parlementaires se soient enfin mis dans (la) logique de compromis ».Ce résultat serré est à la fois un avertissement pour le gouvernement (les groupes RN, LFI et UDR fortement opposés peuvent mobiliser beaucoup plus de troupes au prochain vote), mais aussi une forme de succès, même temporaire, après avoir multiplié les gestes d’ouverture en espérant faire passer le texte sans 49.3.

Source LogoLe Parisien
L'HumanitéL'Humanité
« Labellisation » des médias : : les faux débats
Europe 1Europe 1
Labellisation des médias : «RSF est une bande de gauchistes», dénonce Robert Ménard
France 24France 24
Labellisation des médias : la stratégie risquée de l'Élysée face au camp Bolloré
EuronewsEuronews
The Cube : le projet de Macron de "labelliser" les médias dignes de confiance sorti de son contexte
Europe 1Europe 1
Municipales : Serge Blanco, légende du rugby français, candidat à Biarritz
TF1 InfoTF1 Info
Municipales 2026 : Serge Blanco, légende du rugby, candidat à Biarritz
L'ÉquipeL'Équipe
Serge Blanco officialise sa candidature aux élections municipales de Biarritz : « Le pacte de confiance entre les Biarrots et leur mairie s'est rompu »
Le FigaroLe Figaro
Municipales 2026 : l’ancienne légende du rugby Serge Blanco annonce sa candidature à Biarritz
News Image
Sondage exclusif : la France est le pays européen où le désir d’un pouvoir autoritaire est le plus fort

La dernière vague de l’Eurobazooka, un baromètre des opinions publiques européennes réalisé par Cluster 17 pour le Grand Continent, publiée aujourd’hui, jeudi 4 décembre, montre que 24 % des Français sont favorables à un pouvoir plus centralisé et plus autoritaire. Il s’agit du taux le plus élevé en Europe, parmi les neuf pays sondés. L’article Sondage exclusif : la France est le pays européen où le désir d’un pouvoir autoritaire est le plus fort est apparu en premier sur Le Grand Continent.

Source LogoLe Grand Continent
France 24France 24
Polémique autour d'une "labellisation" des médias : l'Élysée se défend
Europe 1Europe 1
Labellisation des médias : Emmanuel Macron «veut qu'on supprime l'information», juge Franz-Olivier Giesbert
L'HumanitéL'Humanité
« Labellisation » des médias : Emmanuel Macron sous pression de l’extrême droite et de la droite extrême
TF1 InfoTF1 Info
Labellisation des médias : zoom sur la "Journalism Trust Initiative", cette certification qui existe déjà
Europe 1Europe 1
Municipales à Marseille : Martine Vassal n'exclut pas d'ouvrir la porte à une alliance avec le Rassemblement national
L'HumanitéL'Humanité
Les digues sautent partout : à Marseille, la LR Martine Vassal ne dit pas non à une alliance avec le RN
Le MondeLe Monde
Municipales à Marseille : Martine Vassal provoque la colère de ses soutiens en restant ambiguë sur une alliance avec le RN
BFMTVBFMTV
Municipales à Marseille: Martine Vassal écarte la possibilité d'une "alliance d'appareils" avec le RN mais ne "s'interdit de parler à personne"
Le FigaroLe Figaro
«Je pense que nos adversaires devraient s’inquiéter» : Marine Le Pen assure être «ravie» du sondage qui donne Jordan Bardella vainqueur en 2027
l'Opinionl'Opinion
Marine Le Pen à l’arrêt, Jordan Bardella en marche, le RN tétanisé
Le PointLe Point
Marine Le Pen, l’effacement consenti
BFMTVBFMTV
Présidentielle: "Le Rassemblement national est en situation de gagner", affirme Marine Le Pen
News Image
François Patriat, sénateur Renaissance: "À titre personnel, je pense que suspendre la réforme des retraites est un mauvais message envoyé aux Français et à nos voisins"

Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale a été revu par le Sénat, avec un déficit prévisionnel à 17,6 milliards en 2026, contre 23 milliards en 2025. La copie de l'Assemblée nationale prévoyait elle un déficit à plus de 24 milliards d'euros. La suspension de la réforme des retraites fait partie des mesures supprimées au Sénat.

Source LogoBFMTV
Niche parlementaire de LFI ce 27 novembre – Les insoumis défendront l’exonération de la CSG pour les apprentis

CSG. Ce mercredi 27 novembre se tiendra la journée d’initiative parlementaire du groupe de la France insoumise – aussi dite « journée de niche parlementaire » – seul jour de l’année où les député·es LFI seront libres d’inscrire leurs propositions à l’ordre du jour de l’Assemblée.  Au programme de cette journée, neuf textes, dont voici la […]

Source LogoL'insoumission
Europe 1Europe 1
Jordan Bardella donné vainqueur de la présidentielle 2027 : «Ce qui joue pour lui, c'est qu'il ne s'appelle pas Le Pen», estime Pascal Praud
La CroixLa Croix
Jordan Bardella, comment le plan B du RN est devenu favori pour la présidentielle
Europe 1Europe 1
Présidentielle 2027 : pour la première fois, Jordan Bardella donné élu, qu'importe le duel au second tour, selon un sondage
Le FigaroLe Figaro
Présidentielle 2027 : un sondage donne Jordan Bardella gagnant au second tour dans tous les cas de figure
News Image
Aisne. Les bisbilles entre Renaissance Aisne et le député RN Jocelyn Dessigny continuent

Chaque jour est un épisode de plus dans les bisbilles entre Renaissance Aisne et le député RN de la circonscription du sud de l’Aisne. La dernière en date est une critique de député sur une publication Facebook du parti de président dans l’Aisne. Renaissance Aisne a récemment écrit sur Facebook une publication sous la plume […] L’article Aisne. Les bisbilles entre Renaissance Aisne et le député RN Jocelyn Dessigny continuent est apparu en premier sur Oise Hebdo.

Source LogoOise Hebdo
TF1 InfoTF1 Info
Budget 2026 : quelles conséquences en cas de loi spéciale ?
La CroixLa Croix
Budget : comment la « règle de l’entonnoir budgétaire » réduit encore les chances d’un compromis
Le MondeLe Monde
Face au « blocage » budgétaire, Sébastien Lecornu va demander des votes du Parlement sur des « priorités absolues »
TF1 InfoTF1 Info
Budget : loi spéciale, article 49.3… Comment se profilent désormais les débats au Parlement