
Syndicats


"Ce n’est pas possible de travailler dans ces conditions." La coupe est pleine pour le personnel du lycée des métiers Louis-Martin-Bret de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) par l’intermédiaire d’Angélique Vidal, enseignante et porte-parole...

Pour leur pouvoir d’achat, leur santé, leurs enfants : des retraités se sont mobilisés jeudi dans toute la France à l’appel de syndicats et d’associations contre les projets d’économies budgétaires, en pleine incertitude sur les mesures qui seront retenues.

A l’appel de la CGT, de la FSU et de Solidaires, une nouvelle journée de grève est prévue le 2 décembre prochain. Alors que les débats se poursuivent avec l’examen du budget de la Sécurité sociale, les syndicats veulent obtenir plus de «justice sociale, fiscale et environnementale».

La CGT, Solidaires et la FSU lancent un mouvement de grève pour le 2 décembre, afin de faire monter la pression en parallèle des discussions parlementaires sur le budget 2026.

Si la réforme des retraites est temporairement suspendue, la colère et l’inquiétude n’ont pas pour autant disparu. Ce jeudi après-midi, environ 75 personnes ont manifesté à l’appel de plusieurs syndicats et d’associations dans les rues d’Épinal contre les projets de budgets de l’État et de la Sécurité sociale pour 2026.

Vivement critiqué par la CFDT déjà, le coup de rabot envisagé sur la prime de Noël l’est désormais par la CGT. Sa secrétaire générale, Sophie Binet, accuse «le gouvernement de faire les poches de ceux qui galèrent déjà».

Par AFP © 2025 AFP Pour leur pouvoir d'achat, leur santé, leurs enfants: des retraités se sont mobilisés jeudi dans toute la France à l'appel de syndicats et d'associations contre les projets d'économies budgétaires, en pleine incertitude sur les mesures qui seront retenues.Les branches retraités de la CGT, de la CFTC, de la CFE-CGC, de Solidaires, ainsi que la FSU et des associations comme l'Union nationale des retraités et personnes âgées, les avaient appelés à descendre dans la rue. Fichier vidéo A Paris, le cortège a défilé entre le Sénat et les Invalides, rassemblant 6.000 personnes selon la CGT. L'estimation de la police n'était pas encore connue en milieu d'après-midi.Dans toute la France, la CGT a dénombré plus de 100 points de rassemblement. A Marseille, la police a comptabilisé 400 manifestants. Josette Biancheri, retraitée de l'informatique et membre de la CGT, y manifeste pour dénoncer un "boomer bashing" alors que "les Trente Glorieuses, c'est pour le capitalisme, pour nous (c'était) les Trente Laborieuses".La mobilisation porte sur trois revendications, a résumé la numéro un de la CGT Sophie Binet dans le cortège parisien: "la réindexation des pensions sur l'inflation, l'abandon du doublement des franchises médicales, un financement des hôpitaux et des Ehpad à la hauteur des besoins. Parce que (...) cette triple peine est catastrophique pour les retraités". La mobilisation se déroule quelques jours après que le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a annoncé être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux."Le Premier ministre commence à retropédaler sous la pression de la mobilisation", a estimé Sophie Binet. "Pour autant, à ce stade, nous n'avons pas de garantie claire (...) et en plus cette désindexation était prévue dans le projet initial jusqu'en 2030 et là-dessus (sous-indexation jusqu'en 2030, NDLR), le gouvernement ne s'est pas positionné".Des incertitudes planent sur le financement de la suspension de la réforme des retraites, après que les propositions gouvernementales d'une surtaxe sur les complémentaires santé et d'une sous-indexation supplémentaire des retraites ont été rejetées en commission."J'ai déjà fait six mois de plus (que prévu initialement, NDLR) et j'ai pas volé ma retraite", explique Babette Mauroy, 63 ans, venue de Saint-Quentin (Aisne) pour manifester à Paris. "J'ai eu quatre enfants et je vis avec une misère, le budget de Noël a baissé, (gâter) les petits-enfants, on ne peut plus", explique cette responsable de magasin à la retraite, qui touche 1.350 euros par mois. "Moi, j'ai de quoi éponger mais certains ont des retraites tellement petites que les mesures actuelles vont leur prendre des choses essentielles, de quoi payer leur chauffage", craint Evelyne Guislin, enseignante retraitée, syndiquée FSU venue de Melun, du haut de ses 83 ans.Jeudi après-midi, la CGT, Solidaires et la FSU ont appelé l'ensemble de la population à faire grève et manifester à nouveau le 2 décembre pour les salaires et contre l'austérité.Un appel lancé par une intersyndicale restreinte, contrairement à ceux des manifestations des 18 septembre et 2 octobre, qui incluaient notamment le premier syndicat français, la CFDT.

La CGT appelle, avec la FSU et Solidaires, à une mobilisation interprofessionnelle le 2 décembre contre l’austérité budgétaire. Elle dénonce la politique de l’offre qui conduit à une liquidation de l’outil industriel, relate Baptiste Talbot, secrétaire confédéral.

Voir en PDF le bulletin du 3 novembre 2025
La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:03 Lecture zen Une grève, à l’appel du syndicat majoritaire CFDT, s’est tenue à l’usine Mousline de Rosières-en-Santerre, fabricant de purée déshydratée (140 salariés sur site, 174 au total avec le siège à Paris), jeudi 6 novembre. « Les personnels grondent depuis six mois, on a attendu, mais là nous avons considéré que c’était le bon moment pour dire stop », indiquent les représentants du syndicat. Le dernier mouvement de grève remonte à des dizaines d’années, pensent les plus anciens. Une quinzaine de salariés de l’équipe du matin ont débrayé de 10 à 13 heures, avant le relais l’après-midi d’autres collègues. Ce mouvement social « glissant sur la journée » a eu pour effet l’arrêt de deux lignes de production sur sept et deux sur quatre au conditionnement en matinée. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Le délégué syndical CFDT Alexis Dacquin liste les motifs de colère : la participation aux bénéfices réduite à zéro contre une prime de 1 500 € par le passé, des négociations salariales, en février, aboutissant à des augmentations « ridicules par rapport à l’inflation », des congés payés et des périodes de fermetures imposés. La politique du mail est mal supportéeDans un tract, les grévistes dénoncent « un dialogue social inexistant avec la direction » ainsi qu’un décalage entre les discours et la réalité. L’usine a été rachetée fin 2022 à Nestlé par le fonds d’investissement français FnB Private Equity. Les annonces positives des derniers mois tarderaient à se concrétiser. « Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, notre production annuelle est à 15 000-16 000 tonnes et pas 20 000. Et la nouvelle ligne prévue il y a deux ans n’est toujours pas là », invoquent les grévistes. Enfin, et c’est un ressort du mouvement social, « il y a un problème de communication avec les ressources humaines qui ne pratiquent que la politique du mail à distance. Nous attendons, et vite, une nouvelle forme de dialogue », espère Alexis Dacquin. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet La communication de l’entreprise Mousline a été jointe par téléphone jeudi à la mi-journée, sans succès. Par Nicolas Totet Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline Des salariés de SGA Mousline à Rosières-en-Santerre étaient en grève ce jeudi 6 novembre. Un mouvement social, très rare, qui dit forcément quelque chose.

À l’appel d’organisations syndicales, des dizaines de rassemblements ont eu lieu en France ce jeudi 6 novembre pour dénoncer les économies budgétaires visant les retraités dans les budgets de l’État et de la Sécurité sociale.
Quatre-vingts personnes ont répondu à l’appel à manifester des syndicats des retraités ce jeudi à Charleville. Partis de la place de la préfecture, ils ont revendiqué une revalorisation des retraites.

La CGT, FSU et Solidaires appellent ce jeudi à une journée de mobilisation le mardi 2 décembre. Dans un communiqué, les syndicats dénoncent les "conséquences catastrophiques pour les travailleurs et les travailleuses" du budget 2026, débattu au Parlement.

"C'est le moment d'amplifier nos mobilisations de la rentrée pour mettre la pression pour obtenir la justice sociale, fiscale et environnementale dans ce budget", écrivent les trois syndicats dans un communiqué commun publié jeudi.

"C'est le moment d'amplifier nos mobilisations de la rentrée pour mettre la pression pour obtenir la justice sociale, fiscale et environnementale dans ce budget", écrivent les trois syndicats dans un communiqué commun publié jeudi.

Les trois syndicats estiment que, «sans la mobilisation du monde du travail, ce budget aura des conséquences catastrophiques pour les travailleurs et les travailleuses, pour nos services publics et pour l’avenir de notre pays».

Les trois centrales (CGT, Solidaires, FSU,) continuent de dénoncer les mesures austéritaires du budget 2026. « Il faut placer les débats budgétaires sous la surveillance des travailleurs », avait prévenu Sophie Binet le 29 octobre dans nos colonnes. Rendez-vous est donné pour une mobilisation interprofessionnelle le mardi 2 décembre.

Les retraités sont descendus dans les rues ce jeudi 6 novembre à l'appel de plusieurs syndicats. Des mesures des budgets de l'État et de la Sécurité sociale sont critiquées.

Une journée de mobilisation nationale était organisée ce jeudi 6 novembre 2025 à l'appel des organisations syndicales des retraités CGT, FSU, FGR-FP, Solidaire, CFE CGC.

Faute de nouvelle proposition de revalorisation salariale de la part du syndicat d'employeurs Axess, les partenaires sociaux de la Branche sanitaire sociale et médico-sociale (Bass) avancent cahin-caha dans la constitution de leur futur Organisme paritaire de prévention (OPP).
Les personnels des services de gérontologie du centre hospitalier de Chartres (Eure-et-Loir) entament un mouvement de grève illimitée à partir du jeudi 6 novembre 2025. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:47 Lecture zen Le préavis, déposé le 31 octobre 2025, concerne les Ehpad Hôtel-Dieu et Saint-Brice rattachés au centre hospitalier de Chartres. Selon la CGT, cette grève illimitée fait suite à des signalements de « danger grave et imminent » adressés à la direction ces derniers mois, sans réponse satisfaisante. « Le sous-effectif est devenu chronique et met en péril la qualité des soins et la sécurité des résidents », déplore le syndicat dans son communiqué, relayé par actu Chartres.Sous-effectif et fatigueLes agents réclament plusieurs mesures immédiates : le renforcement des effectifs paramédicaux, la création de pools de remplacement pour les aides-soignantes et les infirmières, ainsi qu’une revalorisation des heures supplémentaires à 30 %.L’objectif : garantir la continuité des soins et redonner aux soignants des conditions de travail dignes. Les représentants syndicaux affirment qu’ils « ne veulent plus faire du soin au rabais » et appellent la direction à ouvrir rapidement des négociations. En attendant, la mobilisation s’organise dès 5 h du matin jeudi devant les établissements concernés. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Chartres (Eure-et-Loir) Chartres : grève illimitée en gérontologie au centre hospitalier de la ville Les personnels des services de gérontologie du centre hospitalier de Chartres (Eure-et-Loir) entament un mouvement de grève illimitée à partir du jeudi 6 novembre 2025, à l’appel de la CGT.

50 manifestants se sont réunis à Châteaubriant (Loire-Atlantique), devant le Théâtre de Verre, le jeudi 6 novembre 2025. La CGT conteste les projets de loi de finances.

Des retraités se mobilisent ce jeudi dans toute la France à l'appel de syndicats et d'associations contre les projets de budgets de l'État et de la Sécurité sociale pour 2026, dans un contexte de forte incertitude sur les mesures qui seront finalement retenues.

En colère contre la taxe sur les dépassements d'honoraires inscrite dans le projet de budget de la Sécu, des syndicats de médecins ont annoncé ce jeudi plusieurs jours de grève en janvier et un exil symbolique à Bruxelles.

Une vingtaine de gestionnaires du service corporel de la Macif ont décidé de faire grève, jeudi 6 novembre 2025, pour réclamer une revalorisation salariale. Ils déplorent des salaires d’entrées proches du Smic malgré leurs compétences pointues.
Quatre manifestations sont organisées dans le Cher ce jeudi 6 novembre à l'appel des syndicats pour défendre les droits des retraités.

Une soixantaine de personnes se sont rassemblées ce jeudi matin devant les grilles de l‘établissement public de santé mentale 71, à Sevrey.
Ces 7 et 8 novembre, et alors que la ville de Calais accueille l’arrivée du Varan, 29 policiers municipaux (près de 80 % des effectifs) ont décidé de se mettre en grève. Ils dénoncent la non-revalorisation d’une indemnité de rémunération.

La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, critique vivement la décision du gouvernement Lecornu de réserver la prime de Noël aux familles, la qualifiant de « mesquine »

Des retraités se mobilisent ce jeudi 6 novembre 2025 dans toute la France à l’appel de syndicats et d’associations pour protester contre les projets de budgets de l’État et de la Sécurité sociale pour 2026.

Des retraités se mobilisent ce jeudi dans toute la France à l'appel de syndicats et d'associations contre les projets de budgets de l'État et de la Sécurité sociale pour 2026, dans un contexte de forte incertitude sur les mesures qui seront finalement retenues.

Adrien Gindre reçoit ce jeudi Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT. Elle s'est penchée sur le gouvernement qui engage un processus de suspension de la plateforme Shein, après la découverte de poupées pédopornographiques et d'armes sur le site.

Alors que le gouvernement a suspendu la réforme des retraites de 2023 à la suite d’un accord avec le Parti socialiste, les organisations syndicales de retraités appellent à manifester le 6 novembre à Lyon et à Villefranche-sur-Saône. Pour Jacques Auffeves, la colère ne se limite pas à la question de l’âge légal de départ à […] L’article "Pas de retraite en dessous du SMIC" : la CGT hausse le ton à Lyon est apparu en premier sur Lyon Capitale.

Syndicats et associations de retraités se réunissent aujourd’hui dans un contexte de fortes incertitudes sur certaines mesures budgétaires, comme le gel des pensions ou encore la suspension de la réforme des retraites.

Jean-Pierre Farandou, le ministre du Travail et des Solidarités, a évoqué au micro de France Inter (4 novembre 2025), l’idée que la prime de Noël ne soit plus versée aux bénéficiaires du RSA et aux chômeurs en fin de droits sans enfants. « Je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre […] L’article À la CFDT, on croit encore au Père Noël est apparu en premier sur Contrepoints.

Un mouvement de grève national, accompagné de 80 manifestations partout en France, est organisé ce jeudi 6 novembre 2025. Quatre rendez-vous sont prévus dans la Manche.

Le groupe Trédi, filiale de Séché environnement, est le théâtre d’un mouvement social qui touche trois des quatre sites du groupe, dont celui de Strasbourg.

En congrès régional jusqu’à ce jeudi 6 novembre 2025 à Cherbourg-en-Cotentin (Manche), la CFDT accueille Marylise Léon, sa secrétaire générale.

En Moselle, plusieurs syndicats demandent l’extension du régime local d’assurance maladie aux fonctionnaires qui en sont exclus. Mais les députés qui débattent actuellement du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2026 n’ont pas retenu l’idée, déplore la CFTC.

Ce jeudi 5 novembre 2025, une partie des postiers des Alpes-de-Haute-Provence ont fait grève pour la deuxième journée consécutive, à l'appel de la CGT (rejointe par le syndicat Sud). ##Et_#AUSSI_1_#Le blocage mis en place par les grévistes...
Ce jeudi 6 novembre 2025, plusieurs organisations syndicales de retraités se mobilisent dans l’Aisne, la Marne et les Ardennes. L’union fait le point sur leurs revendications.
Plusieurs organisations syndicales ont appelé à manifester ce jeudi 6 novembre pour s’opposer au budget 2026. L’union fait le point sur les différents rassemblements et manifestations dans la Marne, l’Aisne et les Ardennes.


Un préavis de grève a été déposé à l’appel de trois syndicats des employés de Tanlib, le service de transports de l’agglomération niortaise.

En raison d’un mouvement de grève, le trafic ferroviaire est fortement perturbé en Occitanie depuis 6 h ce mercredi 5 novembre. Plusieurs lignes de trains régionaux sont affectées dont Nîmes-Avignon et Toulouse...

Le président du Medef Patrick Martin a expliqué pourquoi il quittait la conférence sociale sur le travail et les retraites organisée par le gouvernement. Il dénonce notamment les "interférences" de l'exécutif dans les discussions.

Des millions de personnes dans les rues, un pays bloqué pendant plusieurs semaines, par des grèves massives et reconductibles : 1995 a été historique par plusieurs aspects. Trente ans après, la politiste et spécialiste du syndicalisme retrace ce qui a permis cette mobilisation et ses conséquences.

Dans un contexte de fin des utopies politiques et de tournant social-libéral, le mouvement de 1995 catalyse une recomposition syndicale profonde. L’unité d’action, l’émergence de nouvelles organisations et le rôle central des assemblées générales en font le point de départ d’un renouveau syndical toujours inachevé.

Le Journal des Luttes du 5 novembre 2025, présenté par Amira Bendjaballah Jean-Pierre

Le ministre du Travail a récemment annoncé vouloir supprimer la prime de Noël pour les personnes seules bénéficiaires du RSA et pour les chômeurs en fin de droits. Une proposition contestée par la secrétaire générale de la CFDT, estimant que cette prime n'est pas un «luxe». Une partie des bénéficiaires de la prime de Noël pourrait bientôt être privée de cet avantage. D'un montant de 150 euros pour une personne seule, elle est versée habituellement à l'ensemble des bénéficiaires du RSA et aux chômeurs en fin de droits. Mais le projet de lois de finances de 2026 prévoit de la modifier pour la réserver exclusivement aux allocataires possédant des enfants. Une décision justifiée hier par Jean-Pierre Farandou, ministre du Travail, estimant que «l'Etat français a été très généreux». «Je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale. Il faut donc accepter ...

Sous la bannière "La sécurité pour notre lycée", les personnels du lycée des métiers Louis-Martin-Bret (enseignants, AED, agents, AESH, personnels administratifs et d'intendance), à Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), seront en grève ce jeudi...

Le projet de loi de finances 2026 prévoit une réduction du budget dédié à la prime de Noël. D'un montant de 150 euros pour une personne seule, elle es tversée habituellement à l'ensemble des bénéficiaires du RSA et...



"Je ne crois pas que cela soit un luxe quand on gagne juste un peu plus de 500 euros par mois", a justifié Marylise Léon.

Un appel à la mobilisation et à la grève a été lancé par un syndicat du centre hospitalier Marchant ce jeudi. Les agents dénoncent l’impact des mesures budgétaires sur la qualité des soins et les conditions de travail.
Globalement alignés sur la protection de l'emploi et une demande de médiation de Bercy, les syndicats de la filière télécoms sont sur le qui-vive depuis que SFR est en vente. Leurs marges de manoeuvre apparaissent cependant extrêmement serrées.

En pleine crise sociale, économique et politique, les Français prennent la parole sur BFMTV. Ils sont commerçants, retraités, chefs d'entreprises, agriculteurs, médecins, fonctionnaires... Ils ont des opinions différentes et attendent de savoir quel sera l'avenir de la France.

Le jour 2 des négociations chez Teisseire, dans le cadre du plan de sauvegarde de l’emploi engagées depuis l’annonce de la fermeture du site de Crolles, a tourné court ce mardi 4 novembre. Échanges hostiles et règlements de compte ont poussé la CGT à quitter la réunion. « Il faut savoir se retirer pour être entendu et respecté », ont déclaré les syndicalistes.

En Bretagne, quatre syndicats ont appelé les cheminots à se mettre en grève ce lundi 3 novembre. Ils dénoncent l'augmentation du nombre d'agressions. 7 TER sur 10 circulent dans la région.

En Bretagne, quatre syndicats ont appelé les cheminots à se mettre en grève ce lundi 3 novembre. Ils dénoncent l'augmentation du nombre d'agressions. 7 TER sur 10 circulent dans la région.

Les salariés sont soumis à du stress en entreprises. Certains d'entre eux ont de plus en plus de mal avec la communication directe et immédiate. Une solution existe. Explications.

Le deuxième syndicat de France ne participera pas au lancement de la conférence sur le travail et les retraites voulue par le premier ministre qui débutera mardi 4 novembre, sous l’égide de Jean-Pierre Farandou.


100 000 emplois directs et 300 000 emplois directs ont été supprimés ou menacés depuis septembre 2023, selon la CGT. Le syndicat a réclamé des mesures à Bercy pour endiguer la casse, symptôme de la désindustrialisation.

Une tentative de réunir les huit syndicats pour une troisième mobilisation contre le budget du gouvernement a échoué

Maintenus pendant des décennies dans la précarité, 1 860 travailleurs des médias publics vont voir leurs contrats mis en conformité et leur travail mieux protégé. C’est l’aboutissement d’une longue lutte menée par les syndicats mauritaniens et la Fédération internationale des journalistes (FIJ).

Plusieurs secrétaires généraux de l’organisation cégétiste alertent, dans une tribune au « Monde », sur les risques au travail des mineurs en formation. Ils appellent à la suppression des périodes en entreprise non formatrices et des stages dits d’« observation » en classes de 3ᵉ et de 2de.

Critiquant un décret qui frappe les plus pauvres, onze associations et cinq syndicats ont justifié ce mercredi leurs recours en annulation devant le Conseil d'Etat. France Travail pointe, au contraire, un nouveau barème de sanctions plus juste et progressif.

Après la violente tempête du lundi 20 octobre, un jeune homme a péri sur son chantier à Ermont, où trois grues se sont effondrées. Un décès qui nourrit un long décompte macabre lié à la récurrence des dysfonctionnements dans le bâtiment, selon la CGT construction.

La Grèce vient d'adopter une loi autorisant jusqu'à 13 heures de travail par jour, 37 jours par an. L'opinion publique et les syndicats sont vent debout. Le gouvernement assume, au nom d'une "meilleure productivité". Top Info décrypte, avec les envoyés spéciaux de TF1.


L’intersyndicale (FSU, CGT Éduc’action, SE-UNSA, CFDT Éducation Formation Recherche Publiques, SNALC, SUD éducation, CNT-FTE) appelle à la grève et à la manifestation dans les lycées professionnels, mardi 14 octobre, pour alerter sur la mainmise des entreprises sur l’éducation. De l’utilisation des élèves comme une main-d’œuvre remplaçable à la réduction des heures de cours, les syndicats appellent au lancement d’un « plan d’urgence ».

Ce lundi, Adrien Gindre reçoit la secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon. Elle a donné son avis pour la nomination de Jean-Pierre Farandou en tant que ministre du Travail et des Solidarités.

Alors que les pouvoirs publics et la profession semblent frileux à s’emparer du sujet, des associations et un livre-enquête alertent sur un fléau qu’ils considèrent comme systémique et s’organisent pour mettre en place sa prévention


Après l’annonce d’un partenariat avec le géant de la fast fashion Shein, une intersyndicale du BHV Marais a débrayé ce vendredi 10 octobre. Elle alerte sur les conditions de travail des salariés et la dégradation de leur magasin. En cause : les choix erratiques de leur patron Frédéric Merlin, qui entreraient en contradiction avec la charte éthique et l’identité du grand magasin au point de l’entraîner vers sa chute.

Les salariés protestent contre l’implantation au sixième étage de l’établissement parisien du spécialiste de l’habillement low cost chinois, accusé de pollution environnementale, de concurrence déloyale et de conditions de travail indignes.


L'arrivée de Shein au BHV fait des remous. Les salariés du grand magasin parisien ont décidé de faire grève. De son côté, la direction assume et défend son choix.

L’intersyndicale du BHV a appelé à un débrayage ce vendredi 10 octobre, pour protester contre l’arrivée dans le magasin parisien du leader chinois de la fast fashion.

Environ 5 000 professionnels du secteur de la santé se sont rassemblés, jeudi 9 octobre, devant le ministère de la Santé à l’appel de la CGT santé et action sociale. Dans ce contexte politique troublé, tous rejettent en bloc la moindre nouvelle économie sur ces secteurs.


La grève des cheminots qui se déroule du 8 au 21 octobre 1910 est un des mouvements sociaux fondateurs de notre époque contemporaine. L’ensemble des réseaux ferroviaires alors régionaux entrent en action.

La négociation collective dans les entreprises et administrations doit s’emparer d’une réalité qui touchera dans les années à venir plus d’un salarié sur quatre. La chronique avisée de Jean-Philippe Milesy, militant de l’économie sociale et solidaire.


La CGT santé appelle à une journée d’action ce 9 octobre pour dénoncer l’austérité qui s’abat sur les soignants. Alors que l’accès aux soins n’a jamais été aussi dégradé, la fédération, par la voix de sa secrétaire générale, Barbara Filhol, exige la refonte du financement de notre système.

Secrétaire générale de la CFDT, la première centrale syndicale française, depuis 2023, Marylise Léon s’inquiète de la fragilité toujours plus importante de la démocratie sociale. Et appelle chacun, syndicats, politiques et citoyens, à prendre ses responsabilités, malgré un contexte politique chahuté.

Les ordonnances Macron ont créé les représentants de proximité, mais à peine 30 % des entreprises de plus de 50 salariés en sont dotées et quand ils existent ils n’ont pas les moyens de fonctionner. La négociation de mise en place est déterminante.

Après les déclarations d’Élisabeth Borne qui a ouvert la porte à une suspension de la réforme des retraites, les organisations de salariés pourraient bien obtenir ce qu’elles revendiquent depuis des mois.


« Elle démontre que ce point peut être dépassé et permettre en bonne partie l’adoption d’un budget. C’est un signal positif », a estimé Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, dans une déclaration écrite envoyée à l’AFP après qu’Élisabeth Borne à ouvert la porte à une suspension de la retraite à 64 ans. La syndicaliste envisage une … Lire la suite

Discrètes face aux soubresauts politiques, les organisations de salariés estiment que la crise est liée au refus d’entendre les revendications de justice sociale et fiscale.

Face au chaos politique, les syndicats de fonctionnaires en sont réduits à naviguer à vue. Ils dénoncent les répercussions de cette instabilité sur le sort des agents et des services publics, principales cibles de la purge budgétaire fomentée par les gouvernements macronistes successifs.


Alors que les travailleurs d’une usine de capsules appartenant au numéro un du café font grève depuis 15 jours pour demander des augmentations de salaire, la justice a ordonné, lundi 6 octobre, une médiation entre la direction et les salariés grévistes. Une décision qui intervient après que la direction a saisi le tribunal judiciaire de Saint-Etienne en référé pour « délit d’entrave ».
