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Actualités sur les actions, mobilisations et revendications des syndicats en France, et leur impact sur les conditions de travail et la vie sociale.
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Pouvoir d'achat et santé: des retraités manifestent en plein flou budgétaire

Par AFP © 2025 AFP Pour leur pouvoir d'achat, leur santé, leurs enfants: des retraités se sont mobilisés jeudi dans toute la France à l'appel de syndicats et d'associations contre les projets d'économies budgétaires, en pleine incertitude sur les mesures qui seront retenues.Les branches retraités de la CGT, de la CFTC, de la CFE-CGC, de Solidaires, ainsi que la FSU et des associations comme l'Union nationale des retraités et personnes âgées, les avaient appelés à descendre dans la rue. Fichier vidéo A Paris, le cortège a défilé entre le Sénat et les Invalides, rassemblant 6.000 personnes selon la CGT. L'estimation de la police n'était pas encore connue en milieu d'après-midi.Dans toute la France, la CGT a dénombré plus de 100 points de rassemblement. A Marseille, la police a comptabilisé 400 manifestants. Josette Biancheri, retraitée de l'informatique et membre de la CGT, y manifeste pour dénoncer un "boomer bashing" alors que "les Trente Glorieuses, c'est pour le capitalisme, pour nous (c'était) les Trente Laborieuses".La mobilisation porte sur trois revendications, a résumé la numéro un de la CGT Sophie Binet dans le cortège parisien: "la réindexation des pensions sur l'inflation, l'abandon du doublement des franchises médicales, un financement des hôpitaux et des Ehpad à la hauteur des besoins. Parce que (...) cette triple peine est catastrophique pour les retraités". La mobilisation se déroule quelques jours après que le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a annoncé être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux."Le Premier ministre commence à retropédaler sous la pression de la mobilisation", a estimé Sophie Binet. "Pour autant, à ce stade, nous n'avons pas de garantie claire (...) et en plus cette désindexation était prévue dans le projet initial jusqu'en 2030 et là-dessus (sous-indexation jusqu'en 2030, NDLR), le gouvernement ne s'est pas positionné".Des incertitudes planent sur le financement de la suspension de la réforme des retraites, après que les propositions gouvernementales d'une surtaxe sur les complémentaires santé et d'une sous-indexation supplémentaire des retraites ont été rejetées en commission."J'ai déjà fait six mois de plus (que prévu initialement, NDLR) et j'ai pas volé ma retraite", explique Babette Mauroy, 63 ans, venue de Saint-Quentin (Aisne) pour manifester à Paris. "J'ai eu quatre enfants et je vis avec une misère, le budget de Noël a baissé, (gâter) les petits-enfants, on ne peut plus", explique cette responsable de magasin à la retraite, qui touche 1.350 euros par mois. "Moi, j'ai de quoi éponger mais certains ont des retraites tellement petites que les mesures actuelles vont leur prendre des choses essentielles, de quoi payer leur chauffage", craint Evelyne Guislin, enseignante retraitée, syndiquée FSU venue de Melun, du haut de ses 83 ans.Jeudi après-midi, la CGT, Solidaires et la FSU ont appelé l'ensemble de la population à faire grève et manifester à nouveau le 2 décembre pour les salaires et contre l'austérité.Un appel lancé par une intersyndicale restreinte, contrairement à ceux des manifestations des 18 septembre et 2 octobre, qui incluaient notamment le premier syndicat français, la CFDT.

Source LogoTV5 MONDE
Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline

La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Mis en ligne le 6/11/2025 à 18:03 Lecture zen Une grève, à l’appel du syndicat majoritaire CFDT, s’est tenue à l’usine Mousline de Rosières-en-Santerre, fabricant de purée déshydratée (140 salariés sur site, 174 au total avec le siège à Paris), jeudi 6 novembre. « Les personnels grondent depuis six mois, on a attendu, mais là nous avons considéré que c’était le bon moment pour dire stop », indiquent les représentants du syndicat. Le dernier mouvement de grève remonte à des dizaines d’années, pensent les plus anciens. Une quinzaine de salariés de l’équipe du matin ont débrayé de 10 à 13 heures, avant le relais l’après-midi d’autres collègues. Ce mouvement social « glissant sur la journée » a eu pour effet l’arrêt de deux lignes de production sur sept et deux sur quatre au conditionnement en matinée. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet Le délégué syndical CFDT Alexis Dacquin liste les motifs de colère : la participation aux bénéfices réduite à zéro contre une prime de 1 500 € par le passé, des négociations salariales, en février, aboutissant à des augmentations « ridicules par rapport à l’inflation », des congés payés et des périodes de fermetures imposés. La politique du mail est mal supportéeDans un tract, les grévistes dénoncent « un dialogue social inexistant avec la direction » ainsi qu’un décalage entre les discours et la réalité. L’usine a été rachetée fin 2022 à Nestlé par le fonds d’investissement français FnB Private Equity. Les annonces positives des derniers mois tarderaient à se concrétiser. « Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit, notre production annuelle est à 15 000-16 000 tonnes et pas 20 000. Et la nouvelle ligne prévue il y a deux ans n’est toujours pas là », invoquent les grévistes. Enfin, et c’est un ressort du mouvement social, « il y a un problème de communication avec les ressources humaines qui ne pratiquent que la politique du mail à distance. Nous attendons, et vite, une nouvelle forme de dialogue », espère Alexis Dacquin. La quinzaine de grévistes des équipes du matin devant le site Mousline de Rosières-en-Santerre, jeudi 6 novembre. - Nicolas Totet La communication de l’entreprise Mousline a été jointe par téléphone jeudi à la mi-journée, sans succès. Par Nicolas Totet Rosières-en-Santerre : une grève rarissime chez Mousline Des salariés de SGA Mousline à Rosières-en-Santerre étaient en grève ce jeudi 6 novembre. Un mouvement social, très rare, qui dit forcément quelque chose.

Source LogoParis Normandie
Chartres : grève illimitée en gérontologie au centre hospitalier de la ville

Les personnels des services de gérontologie du centre hospitalier de Chartres (Eure-et-Loir) entament un mouvement de grève illimitée à partir du jeudi 6 novembre 2025. - Photo d’illustration Pixabay Mis en ligne le 6/11/2025 à 14:47 Lecture zen Le préavis, déposé le 31 octobre 2025, concerne les Ehpad Hôtel-Dieu et Saint-Brice rattachés au centre hospitalier de Chartres. Selon la CGT, cette grève illimitée fait suite à des signalements de « danger grave et imminent » adressés à la direction ces derniers mois, sans réponse satisfaisante. « Le sous-effectif est devenu chronique et met en péril la qualité des soins et la sécurité des résidents », déplore le syndicat dans son communiqué, relayé par actu Chartres.Sous-effectif et fatigueLes agents réclament plusieurs mesures immédiates : le renforcement des effectifs paramédicaux, la création de pools de remplacement pour les aides-soignantes et les infirmières, ainsi qu’une revalorisation des heures supplémentaires à 30 %.L’objectif : garantir la continuité des soins et redonner aux soignants des conditions de travail dignes. Les représentants syndicaux affirment qu’ils « ne veulent plus faire du soin au rabais » et appellent la direction à ouvrir rapidement des négociations. En attendant, la mobilisation s’organise dès 5 h du matin jeudi devant les établissements concernés. Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) : Chartres (Eure-et-Loir) Chartres : grève illimitée en gérontologie au centre hospitalier de la ville Les personnels des services de gérontologie du centre hospitalier de Chartres (Eure-et-Loir) entament un mouvement de grève illimitée à partir du jeudi 6 novembre 2025, à l’appel de la CGT.

Source LogoParis Normandie
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"Pas de retraite en dessous du SMIC" : la CGT hausse le ton à Lyon

Alors que le gouvernement a suspendu la réforme des retraites de 2023 à la suite d’un accord avec le Parti socialiste, les organisations syndicales de retraités appellent à manifester le 6 novembre à Lyon et à Villefranche-sur-Saône. Pour Jacques Auffeves, la colère ne se limite pas à la question de l’âge légal de départ à […] L’article "Pas de retraite en dessous du SMIC" : la CGT hausse le ton à Lyon est apparu en premier sur Lyon Capitale.

Source LogoLyon Capitale
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La prime de Noël n'est pas un «luxe» : la leader de la CFDT s'oppose au ministre du Travail, qui souhaite la réserver aux allocataires qui ont des enfants

Le ministre du Travail a récemment annoncé vouloir supprimer la prime de Noël pour les personnes seules bénéficiaires du RSA et pour les chômeurs en fin de droits. Une proposition contestée par la secrétaire générale de la CFDT, estimant que cette prime n'est pas un «luxe». Une partie des bénéficiaires de la prime de Noël pourrait bientôt être privée de cet avantage. D'un montant de 150 euros pour une personne seule, elle est versée habituellement à l'ensemble des bénéficiaires du RSA et aux chômeurs en fin de droits. Mais le projet de lois de finances de 2026 prévoit de la modifier pour la réserver exclusivement aux allocataires possédant des enfants. Une décision justifiée hier par Jean-Pierre Farandou, ministre du Travail, estimant que «l'Etat français a été très généreux». «Je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale. Il faut donc accepter ...

Source LogoCNEWS
Europe 1Europe 1
Marseille : 195.000 euros de chèques-cadeaux dérobés à l'Hôpital européen
CNEWSCNEWS
«Ça fait de la peine» : les salariés de l'hôpital européen de Marseille écœurés après le vol des chèques cadeaux de Noël estimé à 180.000 euros
BFMTVBFMTV
Marseille: un prévis de grève à La Poste pour dénoncer un licenciement abusif
Ouest FranceOuest France
Près de 190 000 € de bons cadeaux pour Noël dérobés dans un hôpital à Marseille
coverageCouverture complète
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« Un gars se lève pour bosser et ne revient pas le soir à la maison » : après la mort du jeune ouvrier tué sur son chantier par la tornade du Val-d’Oise, la CGT alerte sur le décompte macabre dans le bâtiment

Après la violente tempête du lundi 20 octobre, un jeune homme a péri sur son chantier à Ermont, où trois grues se sont effondrées. Un décès qui nourrit un long décompte macabre lié à la récurrence des dysfonctionnements dans le bâtiment, selon la CGT construction.

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« Les stagiaires et apprentis ne sont vus que comme de la main-d’œuvre bon marché » : l’intersyndicale appelle à la grève pour sauver les lycées professionnels

L’intersyndicale (FSU, CGT Éduc’action, SE-UNSA, CFDT Éducation Formation Recherche Publiques, SNALC, SUD éducation, CNT-FTE) appelle à la grève et à la manifestation dans les lycées professionnels, mardi 14 octobre, pour alerter sur la mainmise des entreprises sur l’éducation. De l’utilisation des élèves comme une main-d’œuvre remplaçable à la réduction des heures de cours, les syndicats appellent au lancement d’un « plan d’urgence ».

Source LogoL'Humanité
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« On fait entrer le loup dans la bergerie » : avec l’arrivée de Shein au BHV , les salariés clament leur colère

Après l’annonce d’un partenariat avec le géant de la fast fashion Shein, une intersyndicale du BHV Marais a débrayé ce vendredi 10 octobre. Elle alerte sur les conditions de travail des salariés et la dégradation de leur magasin. En cause : les choix erratiques de leur patron Frédéric Merlin, qui entreraient en contradiction avec la charte éthique et l’identité du grand magasin au point de l’entraîner vers sa chute.

Source LogoL'Humanité
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Face à une grève des travailleurs d’une usine de capsules, la direction saisit le tribunal pour « délit d’entrave »

Alors que les travailleurs d’une usine de capsules appartenant au numéro un du café font grève depuis 15 jours pour demander des augmentations de salaire, la justice a ordonné, lundi 6 octobre, une médiation entre la direction et les salariés grévistes. Une décision qui intervient après que la direction a saisi le tribunal judiciaire de Saint-Etienne en référé pour « délit d’entrave ».

Source LogoL'Humanité