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Actualités sur les actions, mobilisations et revendications des syndicats en France, et leur impact sur les conditions de travail et la vie sociale.
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Europe sociale : quelles sont les grandes mesures adoptées ces dernières années ?

L'Europe sociale, un vœu pieux ? Depuis plusieurs années, l'Union européenne veut démontrer qu'elle ne se résume pas à son marché unique. Si ses compétences en matière sociale sont limitées, elle a récemment adopté des actes législatifs d'une portée inédite. Salaires minimums, travail détaché, équilibre entre vie privée et professionnelle, transparence salariale ou encore parité dans […] L’article Europe sociale : quelles sont les grandes mesures adoptées ces dernières années ? est apparu en premier sur Touteleurope.eu.

Source LogoToute l'Europe
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Un nouveau congé de naissance dès 2026 en France
TF1 InfoTF1 Info
Le congé de naissance va voir le jour en 2026, les parents de bébés nés à partir de janvier seront éligibles
La CroixLa Croix
Natalité : le nouveau congé s’appliquera pour tous les bébés nés à partir de janvier 2026
Version FeminaVersion Femina
Nouveau congé de naissance : tous les parents d’un bébé né après janvier 2026 pourront en profiter
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40 ans des Restos du Cœur: quand la débrouille est devenue une institution

Quand Coluche lance à la radio sa « petite idée » à l’automne 1985, personne n’imagine encore que les Restos du Cœur deviendront, quarante ans plus tard, un pilier de la solidarité en France. Derrière l’histoire officielle, il y a celles et ceux qui étaient là dès le début. Parmi eux : Viviane Belmessieri, bénévole de la première heure. Elle raconte les débuts bricolés, la fraternité et l’incroyable transformation d’une « idée un peu fofolle » en institution nationale.

Source LogoRFI
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La CFE-CGC RATP alerte le futur dirigeant

La CFE-CGC RATP alerte sur l’urgence de désigner une gouvernance "solide, cohérente et tournée vers les salariés" alors que le groupe vit une profonde transformation, accélérée par l’ouverture à la concurrence. "Monsieur Piechaczyk devra préserver l’avenir de l’EPIC, redonner de la visibilité à l’ensemble des filiales mais surtout garantir une stratégie sociale ambitieuse et collégiale. Ces impératifs devront reposer sur un management modernisé et la préservation d’une prise de décision tournée vers l’humain", estime-t-on à la CFE-CGC. Pour Fabien Renaud, président du syndicat à la RATP : «  La transformation du groupe ne se fera pas sans l’adhésion des salariés....

Source LogoVille, Rail et Transports
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« On est précaires et vulnérables » : les personnes prostituées dénoncent les politiques stigmatisantes

À l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux travailleuses du sexe (TDS), une vingtaine de personnes se sont mobilisées ce mercredi 17 décembre. Ce rassemblement, organisé par le Strass, le syndicat du travail sexuel, visait à rendre hommage à celles qui ont été assassinées mais aussi à dénoncer l’impact des politiques actuelles sur leur quotidien et leur sécurité.

Source LogoL'Humanité
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« C’est une mission à temps plein » : les Restos du cœur 95 manquent de bénévoles pour les postes à responsabilité

Il suffit d’un petit tour dans le plus grand centre de distribution des Restos du cœur 95, à Argenteuil, pour s’en convaincre : les bénévoles ne veulent plus avoir de poste à responsabilité. Pot de confiture entre les mains, Dominique s’occupe ce jeudi 27 novembre du stand complément (confiture, beurre, pain de mie, etc.) Voilà 9 ans qu’il est membre de l’association et il l’assume sans sourciller : « Je le vois notre responsable, il a toujours plein de choses à faire et à prévoir. J’étais agent de maîtrise dans un entrepôt donc je sais ce que c’est d’encadrer une équipe. À la retraite, ce n’est plus ce que j’ai envie de faire. »Comme Dominique, ils sont nombreux à bouder les fonctions d’encadrement. Depuis le 3 septembre, les Restos du cœur 95 ont posté, sur leur site Internet, 16 annonces de recherche de bénévoles. 15 d’entre elles concernent des postes de chef ou de chef adjoint. Ramasse, collecte et dons, présentation en milieu scolaire, logistique, événementiel, ressources humaines… Aucun domaine n’est épargné. Et les besoins sont d’autant plus importants dans l’entrepôt d’Argenteuil qui accueille le siège départementale et alimente également les Hauts-de-Seine.Veste en velours rouge sur le dos et badge Resto du cœur sur la poitrine, Marie-France Ligeret, secrétaire départementale, responsable communication et simple bénévole distribution les jeudis matin au centre d’Argenteuil précise : « Si on regarde le fonctionnement de l’association, vu de l’extérieur, ça n’a aucun impact. Mais ça veut dire que ce sont ceux qui sont là qui font à la place des autres. »« J’en ai assez »Une surcharge de travail qui ne peut pas fonctionner dans le temps long. D’autant que la moyenne d’âge des bénévoles est de 70 ans. « On est à un âge où on peut tomber malade à tout moment. On avait une responsable des ressources humaines qui est tombée malade et quelques mois après, elle nous a quittés », s’attriste Marie-France Ligeret.En réalité, les 15 offres de bénévolat concernent des postes déjà occupés. L’association tente, dans la plupart des cas, de créer des binômes pour soulager les encadrants. Mais, quelquefois, il s’agit de remplacer un bénévole qui souhaite prendre le large. « Aujourd’hui, on a quelqu’un qui s’occupe de la ramasse, collecte et dons mais, ça fait deux ans maintenant qu’il dit : Je voudrais faire autre chose, retourner vers le terrain, j’en ai assez, etc. » souffle la secrétaire départementale tout en déplorant ne trouver aucun remplaçant.La raison ? Ce sont des missions chronophages qui ne coïncident plus avec les évolutions du bénévolat, communes à toutes les associations. D’après le dernier baromètre de France bénévolat, « les formes traditionnelles d’engagement, souvent régulières et denses, cèdent progressivement la place à des pratiques plus ponctuelles et plus souples ».Aux Restos du cœur, les bénévoles vont davantage être présents un ou deux jours par semaine, contre trois ou quatre par le passé. Pour garder du temps libre ou pour multiplier les engagements par ailleurs. Penchée sur la fiche d’une personne accueillie, Christine, 61 ans, agit dans le centre de distribution d’Argenteuil deux matins par semaine. À la question : accepteriez-vous d’être cheffe ? Cette dernière se fend d’un « non » spontané.Pourquoi ? « Ca me demanderait plus d’engagement que ce que je peux donner aujourd’hui. J’ai d’autres activités en dehors des Restos du cœur. Je suis aidante de mes parents. Ça me demande du temps et c’est une charge mentale importante », détaille la néoretraitée.À ses côtés, Hervé Robert, responsable du centre de distribution d’Argenteuil depuis 5 ans, acquiesce. « Être bénévole responsable, c’est une mission à temps plein, sourit cet ancien chef à la RATP. Aux 6 heures de présence par jour, s’ajoutent les autres missions comme gérer les stocks, répondre aux mails, etc. Au total, je dois certainement faire 30 heures de travail par semaine. »Un job à plein temps donc. Mais, ne dit-on pas que tout travail mérite salaire ? « Si tous les postes de responsables étaient rémunérés, on ne pourrait distribuer que 30 % de ce qu’on distribue aujourd’hui », explique Marie-France Ligeret. Et d’ajouter : « Rémunérer nos plus de 700 bénévoles coûterait plus de 2,2 millions d’euros ».Le mécénat de compétences : une solution miracleFace à cette impasse, une « solution miracle » semble se dessiner : le mécénat de compétences. Des entreprises mettent à disposition des associations certains de leurs employés, souvent en fin de carrière. « Ça fonctionne bien parce qu’ils sont présents tous les jours et ça nous coûte rien, se satisfait la secrétaire départementale. Encore faut-il les trouver. Les offres d’emploi ne suffisent pas donc on s’est mis à trois pour recontacter toutes les entreprises avec lesquelles on a déjà travaillé. »Au-delà des postes à responsabilité, les Restos du cœur vont bientôt lancer un processus de réflexion à l’échelle nationale pour renouveler la façon d’approcher les bénévoles en cohérence avec leurs nouvelles aspirations.

Source LogoLe Parisien
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« Il y a une grande exaspération » : les salariés du Louvre reconduisent la grève à l’unanimité

Les agents du Louvre ont décidé ce mercredi 17 décembre de poursuivre leur mouvement contre des « conditions de travail toujours plus dégradées » et la détérioration de l’accueil du public. La grève a été reconduite à l’unanimité face aux propositions du ministère de la Culture « jugées insuffisantes et inacceptables par le personnel ». La direction Paris annonce, de son côté, une ouverture partielle du musée.

Source LogoL'Humanité
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Samu social d’Île-de-France : une grève massive pour dénoncer des conditions « indignes »

Ce mardi 16 décembre, six des huit plates-formes du Samu social d’Île-de-France débraient pour dénoncer des conditions de travail qu’ils jugent « catastrophiques ». Selon une information de France Info, seules les plates-formes de Paris et de Seine-Saint-Denis ne participent pas au mouvement de grève.Depuis plusieurs années, les travailleurs sociaux du Samu social tirent la sonnette d’alarme. « D’une année sur l’autre, c’est de pire en pire », a témoigné ce mardi une salariée sur France Inter. Cette grève, qui doit durer jusqu’à jeudi 18 décembre, vise à mettre en lumière une situation devenue intenable : manque de personnel, salaires jugés insuffisants, locaux vétustes et surcharge de travail.Cette mobilisation s’inscrit dans le cadre plus large d’un mouvement des travailleurs du social. Travailleurs sociaux du public, mais aussi des associations, seront donc dans la rue pour dénoncer le manque de moyens dans leur secteur.Un mouvement social qui s’inscrit dans la duréeLes grévistes portent plusieurs exigences. En premier lieu, ils réclament une augmentation salariale. Les travailleurs sociaux demandent également un renforcement des effectifs pour faire face à une demande croissante. Le nombre de personnes à la rue ne cesse d’augmenter en Île-de-France, tandis que les moyens alloués aux structures d’hébergement d’urgence stagnent, voire diminuent.Ce n’est pas la première fois que le Samu social fait grève. En septembre 2024, nous rapportions déjà dans nos colonnes un appel à la grève au Samu social de Paris pour dénoncer des « conditions de travail indignes ». Les salariés protestaient alors contre des locaux délabrés, un manque criant de moyens et une surcharge de travail chronique.Mais cette fois, le mouvement prend une ampleur sans précédent avec la mobilisation simultanée de six plates-formes franciliennes. Une coordination intersyndicale s’est mise en place pour porter les revendications au niveau régional. Les syndicats espèrent ainsi peser davantage face aux pouvoirs publics et à la direction du Samu social.Si la grève mobilise massivement, les travailleurs sociaux assurent qu’un service minimum sera maintenu pour ne pas laisser les personnes en détresse sans solution. Les syndicats appellent les pouvoirs publics à entendre leurs revendications et à engager rapidement des négociations. La mobilisation de ce mardi marque le début d’un bras de fer qui pourrait durer si aucune réponse concrète n’est apportée.

Source LogoLe Parisien
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Le Louvre fermé à la dernière minute

Les visiteurs du Louvre ont été informés ce lundi matin que le musée ne serait pas ouvert. Le personnel a voté la grève à l’unanimité près de deux mois après le cambriolage du siècle, qui a révélé plusieurs dysfonctionnements. Les syndicats réclament plus de moyens pour rénover le bâtiment, des mesures visant à garantir sa sécurité et de meilleures conditions de travail. Une assemblée générale décidera ce mercredi d’une nouvelle journée de grève avec l’ouverture ou non du musée.

Source LogoTF1 Info
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« On se prépare à une mobilisation puissante » : les syndicats et les salariés du Louvre se penchent sur une grève reconductible

Les salariés du Louvre se sont réunis, lundi 15 décembre, à partir de 9 heures, à l’occasion d’une assemblée générale pour décider d’un prolongement de la grève en cours. Alors que l’établissement mondialement reconnu n’a pas ouvert ses portes ce lundi matin, ses travailleurs accusent la direction d’alimenter un manque d’effectifs constant, des conditions de travail précaires et la vétusté du bâtiment.

Source LogoL'Humanité
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Grève générale au Portugal pour dénoncer « l’une des plus grandes attaques faites au monde du travail »

Les deux principales centrales syndicales portugaises, la CGTP-IN et l’UGT, appellent à une grève générale, jeudi 11 décembre, pour dénoncer un projet de réforme du Code du travail lancé par le gouvernement. Malgré la pression populaire, le premier ministre conservateur, Luís Montenegro, continue de soutenir son projet libéral et destructeur pour les travailleurs.

Source LogoL'Humanité
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Mouvement social : « Les militants réservent leurs forces sur des conflits locaux », analyse Baptiste Giraud

Le mouvement social de 1995 a durablement marqué les mémoires. Pour Baptiste Giraud, maître de conférences en science politique, le recul de la pratique gréviste qui s’est depuis installé explique l’issue de la lutte contre la réforme des retraites de 2023. Depuis l’épisode des gilets jaunes, les syndicats repensent les mobilisations sous l’angle des territoires et de la décentralisation.

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Les grands patrons qui délocalisent, des « rats qui quittent le navire » : Sophie Binet mise en examen pour « injures publiques »

La secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a été mise en examen pour « injures publiques » après avoir comparé les grands patrons menaçant de délocaliser leurs entreprises à des « rats qui quittent le navire ». La centrale syndicale dénonce, dans un communiqué, une « énième procédure-bâillon » et une « attaque d’un degré inédit » alors qu’il s’agit de « la 5e procédure judiciaire contre un membre du bureau confédéral en 2 ans ».

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Condamné à un an de prison avec sursis en première instance, le responsable de la CGT du Nord de retour au tribunal pour contester la criminalisation du soutien à la Palestine

Le secrétaire général de la CGT du Nord, Jean-Paul Delescaut, est attendu ce mardi 2 décembre au tribunal de Douai pour son procès en appel. En première instance, en avril, le responsable syndical avait été condamné à un an de prison avec sursis pour « apologie du terrorisme » à cause d’un tract de soutien à la Palestine.

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Assurance chômage : le gouvernement propose le retrait de la réforme Bayrou contre 400 millions d’euros d’économies par an sur les ruptures conventionnelles

Dans une lettre envoyée samedi aux syndicats, le ministre du travail, Jean-Pierre Farandou, annonce que le projet de durcir les règles d’indemnisation des demandeurs d’emploi, voulu par François Bayrou, sera abandonné s’ils se mettent d’accord sur les contrats courts et les ruptures conventionnelles. Les organisations ont jusqu’à fin janvier pour négocier avec l’objectif de dégager 400 millions d’euros d’économies par an.

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150 manifestations déjà prévues… Le 2 décembre, la CGT, Solidaires et la FSU appellent à une « journée d’alerte rouge »

Lors d’une conférence de presse ce 27 novembre, la CGT, Solidaires et la FSU ont dénoncé l’enlisement des discussions au parlement sur un « budget qui pénalisera l’ensemble des segments de la société ». 150 manifestations et rassemblements sont déjà prévus, le 2 décembre, pour une journée d’action interprofessionnelle à l’appel des trois centrales.

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"Vous pouvez suivre un rythme comme ça ?" : travailler 12 jours de suite, cette jurisprudence qui inquiète les salariés

La loi prescrit un maximum de 6 jours consécutifs travaillés dans la semaine, en bénéficiant d'au moins un jour de repos hebdomadaire. Mais la justice vient de reconnaître la possibilité de porter à 12 jours la période travaillée, à partir du moment où l'employé dispose bien d'un jour chômé par semaine calendaire. Cette récente décision de la Cour de cassation va faire jurisprudence.

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