Face au juge, elle a nié toute implication, déclarant : "Je n’ai jamais écrit de lettre, je n’ai jamais téléphoné. Jamais à personne."

Ses avocats ont immédiatement annoncé leur intention de faire appel, qualifiant les expertises de "gadget" et la mise en examen d'"erreur".

Ils soulignent que leur cliente est ressortie libre sans contrôle judiciaire, ce qui, selon eux, montre la faiblesse des charges.

Cette mise en examen n'est pas la première pour Jacqueline Jacob. En 2017, elle avait déjà été poursuivie pour "enlèvement et séquestration suivie de mort" avant que la procédure ne soit annulée pour un vice de forme. Le procureur général de Dijon, Philippe Astruc, a qualifié cette nouvelle étape d'"importante" tout en reconnaissant un "risque juridique" de prescription concernant le délit d'association de malfaiteurs. Pour les parents de Grégory, ce développement représente un nouvel espoir de voir la vérité émerger.