Identifiés grâce à des traces ADN laissées sur place, ils ont, selon la procureure de Paris Laure Beccuau, "partiellement reconnu les faits" lors de leur garde à vue avant leur mise en examen.
Par la suite, une nouvelle vague d'interpellations a eu lieu, portant à sept le nombre de personnes arrêtées.
Parmi elles figure un troisième membre présumé du commando, considéré comme le plus expérimenté, qui a été arrêté alors qu'il se rendait à un match de football au stade Jean-Bouin.
Malgré ces arrestations, les bijoux restent introuvables.
L'affaire a provoqué un vif débat sur la sécurité du musée, les syndicats dénonçant un "cruel manque de personnel" et des équipements de sécurité ayant "20 ans de retard", des critiques qui soulignent un sous-investissement chronique.












