Il s'agissait notamment d'une figurine de 80 cm représentant une fillette, décrite comme une "poupée fantastique pour hommes solitaires".
Face à la polémique, la marque chinoise a assuré avoir retiré "immédiatement" les produits de sa plateforme et lancé une enquête interne. L'affaire a pris une nouvelle dimension lorsque l'association Mouv'Enfants a publiquement demandé que des mesures soient prises "pour identifier et suivre les acheteurs potentiels de ces objets, afin de prévenir tout passage à l’acte et de protéger efficacement les enfants". Son président, Arnaud Gallais, a martelé que "les acheteurs de produits sexualisant les enfants doivent comprendre qu’ils seront poursuivis".
Ce scandale éclate alors que Shein s'apprête à ouvrir sa première boutique physique en France, au BHV, ce qui amplifie l'attention portée sur ses pratiques commerciales et éthiques.
Il met en lumière les défis de la modération sur les gigantesques places de marché en ligne et pose la question cruciale de la responsabilité pénale, non seulement des vendeurs, mais aussi des acheteurs de tels produits.












