Un mouvement anarchiste a d'ailleurs revendiqué ces sabotages.

L'incident met en lumière la grande vulnérabilité du réseau ferroviaire français, qui s'étend sur 28 000 km.

Le ministre a reconnu qu'il était "très compliqué" de tout surveiller et que le "risque zéro" n'existait pas, malgré les millions d'euros investis dans la sécurité.

Cette attaque ciblée démontre comment des actions localisées peuvent avoir un impact national, posant un défi majeur pour la protection des infrastructures essentielles contre des menaces à motivation politique.