Ce scandale met en lumière les difficultés à contrôler les millions de produits vendus sur ces marketplaces, où les algorithmes semblent insuffisants pour filtrer les contenus illicites, et expose les entreprises à une possible interdiction en France en cas de récidive.
Poupées pédopornographiques : Shein, Temu et d'autres plateformes dans le viseur de la justice
Un scandale a éclaté concernant la vente de poupées sexuelles d'apparence enfantine sur plusieurs grandes plateformes de commerce en ligne, entraînant l'ouverture de multiples enquêtes par la justice française. L'affaire, qui a débuté avec le géant chinois Shein, s'est rapidement étendue à ses concurrents AliExpress, Temu et Wish, soulevant de graves questions sur la modération des contenus et la protection des mineurs. L'affaire a commencé lorsque la Répression des fraudes (DGCCRF) a signalé au parquet de Paris la commercialisation de ces objets sur Shein, juste avant l'ouverture prévue d'une boutique éphémère de la marque au BHV à Paris. En réponse, le parquet a confié quatre enquêtes à l'Office des mineurs (Ofmin) pour « diffusion de message violent, pornographique, ou contraire à la dignité accessible à un mineur », visant non seulement Shein mais aussi AliExpress, Temu et Wish. Face à la polémique, Shein a rapidement annoncé une « interdiction totale » de ces produits sur sa plateforme mondiale et s'est dit prêt à « collaborer à 100% avec la justice », allant jusqu'à proposer de communiquer les noms des acheteurs si la justice le demande. Sarah El-Haïry, haute commissaire à l'enfance, a déclaré avoir saisi la justice, qualifiant ces objets de « pédocriminels » et a exprimé le souhait de mener des « enquêtes sociales » chez les acheteurs. Des associations comme Mouv'Enfants ont manifesté et lancé des pétitions pour réclamer l'identification et la poursuite des acheteurs afin de « prévenir tout passage à l’acte ».



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