La fuite de données personnelles concerne 274 000 adhérents, dont les noms et adresses ont été dérobés, créant un risque sécuritaire majeur.
La Fédération a demandé à ses membres d'être "vigilants".
Les craintes des tireurs sportifs se sont rapidement concrétisées.
Selon des informations d'Europe 1, quelques jours après le piratage, un faux policier s'est présenté au domicile d'un tireur sportif dans le 15e arrondissement de Paris. Le suspect a réussi à s'introduire dans l'appartement et a pris en photo les armes et les bijoux de la victime, illustrant le danger que des criminels puissent utiliser ces données pour cibler les détenteurs légaux d'armes à feu. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour faire la lumière sur ce piratage massif et identifier les responsables. Cette affaire soulève des questions critiques sur la sécurité des données sensibles détenues par les fédérations sportives et les conséquences potentielles en matière de sécurité publique lorsque ces informations tombent entre de mauvaises mains.












