Ces mesures visent à prévenir toute pression sur les témoins ou concertation entre les accusés avant le procès en appel, prévu pour mars 2026.

L'ancien président avait qualifié son incarcération d'« épreuve dure et éreintante ».

Sa libération, bien que conditionnelle, lui permet de préparer sa défense en dehors du cadre pénitentiaire.

Cette affaire hautement médiatisée continue de mettre à l'épreuve le système judiciaire français dans sa gestion des personnalités politiques, cherchant un équilibre entre l'exécution d'une peine et la présomption d'innocence en attente d'un jugement définitif. Le respect des conditions de sa libération sera étroitement surveillé, et l'affaire reste un point central de l'attention publique et politique.