L'enseignante, qui était également directrice de son école primaire, aurait été victime de propos homophobes avant son geste fatal.

La plainte vise non seulement l'Éducation nationale, mais également le maire du village où se situe l'école.

Ce drame met en lumière les pressions et le harcèlement que peuvent subir les membres du corps enseignant.

Une marche hommage avait été organisée à Aurillac le 7 septembre 2025 en mémoire de l'institutrice.

L'ouverture d'une enquête suite à cette plainte devra déterminer les responsabilités institutionnelles et individuelles dans la souffrance qui a conduit à cet acte désespéré, et examiner les manquements éventuels de l'administration face à la situation de harcèlement dénoncée.