L'intervention rapide des forces de l'ordre a permis de le neutraliser, mais a provoqué un mouvement de panique et perturbé le trafic ferroviaire. L'incident s'est produit le 14 novembre après-midi sur un quai de la gare.

L'individu, connu pour des faits de violences conjugales, aurait annoncé venir de Rennes pour tuer sa femme.

Face à l'arrivée des policiers, il s'est porté plusieurs coups de couteau, notamment à la gorge.

Un agent de police a alors ouvert le feu, le blessant aux jambes pour le maîtriser. Le pronostic vital de l'homme était engagé.

Une victime collatérale, un autre passager, a également été touchée par une balle au pied.

L'intervention a entraîné un "mouvement de foule" et l'évacuation partielle de la gare, créant une certaine confusion parmi les voyageurs. Le syndicaliste policier Reda Belhaj a expliqué que l'usage de l'arme à feu était justifié par l'urgence de la situation, précisant qu'on "utilise le taser quand on a le temps de l'utiliser". Deux quais ont été fermés pour les besoins de l'enquête, mais la circulation des trains a pu reprendre de manière quasi normale peu après.