La situation a suscité une vive inquiétude parmi les parents d'élèves.

Plusieurs enquêtes pour soupçons d'agressions sexuelles ont secoué le secteur périscolaire parisien, avec des cas signalés dans plusieurs écoles, dont une maternelle du XIe arrondissement où une plainte pour "viol aggravé" a été déposée contre un animateur.

En réponse, la municipalité a détaillé plusieurs mesures.

Un poste de "Défenseur des enfants" sera créé pour mieux accompagner les victimes et leurs familles. De plus, la formation des animateurs sera renforcée, avec une formation obligatoire de deux jours désormais imposée aux nouveaux agents recrutés. Ce plan vise à renforcer le contrôle et la prévention au sein des 620 écoles de la capitale. Bien que la mairie assure prendre la situation au sérieux, le nombre exact d'animateurs ayant fait l'objet de poursuites pénales parmi les 52 suspendus reste inconnu.

De nouvelles plaintes pour d'autres soupçons d'abus seraient sur le point d'être déposées, indiquant que l'affaire est loin d'être close.