L'affaire a conduit à plusieurs interpellations, mais les principaux suspects ont été relâchés, suscitant l'incompréhension des sinistrés. Les faits se sont déroulés le 8 novembre, lorsque des tirs de mortiers d'artifice, utilisés lors du tournage pour le rappeur BFK.16, ont visé des policiers intervenant sur les lieux.
L'un des projectiles a atterri sur le balcon d'un appartement, déclenchant un incendie qui s'est propagé à quatre autres logements.
Dans les jours qui ont suivi, six personnes, dont le rappeur, ont été interpellées et placées en garde à vue. Cependant, quatre d'entre elles ont été remises en liberté sans qu'aucune charge ne soit retenue contre elles.
Cette décision a provoqué la colère et l'incompréhension des habitants sinistrés, dont certains ont été temporairement relogés dans un centre de loisirs.
Le maire de la commune, Alexandre Vincendet, a défendu sa politique sécuritaire et son projet de rénovation urbaine pour le quartier. Malgré la présence de caméras de surveillance, aucune interpellation n'a eu lieu dans l'immédiat pour l'incendie lui-même, laissant les victimes dans l'attente de réponses et de justice.











