Les deux autres accusés dans cette affaire n'ont pas été mentionnés dans les articles comme ayant fait appel.

L'affaire avait suscité une vive émotion en 2024 et s'inscrit dans une période de forte augmentation des actes antisémites en France. Selon le ministère de l'Intérieur, 504 actes de cette nature ont été recensés entre janvier et mai 2025. La réduction de la peine en appel, bien que restant une condamnation lourde pour un mineur, soulève des questions sur l'appréciation judiciaire de la gravité des faits et de la circonstance aggravante d'antisémitisme, surtout dans un climat social tendu. Le verdict de la cour d'appel de Versailles, confirmé par les sources judiciaires, marque une nouvelle étape dans ce dossier emblématique des violences à caractère antisémite impliquant des mineurs.