Sa longue carrière criminelle a été marquée par plusieurs condamnations pour meurtre. Il a été condamné une première fois pour le meurtre d'un parrain de la pègre, puis, après sa libération, il a été de nouveau condamné à la réclusion criminelle à perpétuité en 1983 pour deux triples meurtres commis dans le Var. Malgré ses nombreuses demandes de libération conditionnelle, toutes avaient été rejetées par la justice, qui considérait qu'il représentait toujours un danger pour la société.

Son parcours judiciaire et carcéral exceptionnellement long a fait de lui une figure emblématique du système pénitentiaire français, soulevant régulièrement des débats sur les longues peines et la réinsertion des détenus âgés.