Face à ce constat, la ministre déléguée Aurore Bergé a estimé que le casier judiciaire de tout professionnel au contact des enfants devrait faire l'objet d'un contrôle "systématique et annuel". En réponse, la Mairie de Paris a annoncé un plan de lutte, incluant la création d'un poste de défenseur des enfants et un renforcement de la formation des animateurs. Par ailleurs, des familles de victimes exigent la fin du "silence" sur ces agressions, dénonçant des "viols sur des enfants d’à peine trois ans". Ces affaires soulignent la vulnérabilité des plus jeunes et la nécessité d'une vigilance accrue dans le recrutement et la surveillance des adultes qui en ont la charge.