Les deux jeunes femmes touchées sont considérées par les enquêteurs comme des "victimes collatérales" et "innocentes". Les véritables cibles de l'attaque seraient deux hommes présents dans la même voiture, connus des services de police pour des affaires de stupéfiants. Cet événement a profondément traumatisé les habitants, qui témoignent de leur choc face à une telle violence.
Un syndicaliste policier, Bruno Bartocetti, souligne que ce drame montre comment le narcotrafic gangrène désormais les territoires ruraux, loin des grandes métropoles habituellement associées à ce type de criminalité. Le ou les tireurs sont toujours activement recherchés, et le parquet de Valence a établi un lien clair avec le grand banditisme. Cette affaire met en évidence un nouveau défi sécuritaire pour les forces de l'ordre et une source d'inquiétude grandissante pour les populations des petites communes.












