La scène a été filmée et partagée sur un groupe WhatsApp d'éducateurs, accompagnée de commentaires moqueurs tels que "Ça lui donne plus d’aérodynamisme".

La diffusion de ces images a entraîné une réaction ferme des autorités. La Ville de Paris a saisi la justice, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "violences volontaires", et la Défenseure des droits, Claire Hédon, s'est auto-saisie du dossier, qualifiant la situation d'"épouvantable" et "inacceptable".

Une inspection administrative a également été diligentée dans le foyer concerné.

Plusieurs articles soulignent que ce cas, qualifié de "gravissime", illustre les dysfonctionnements structurels et le manque de contrôle au sein de l'ASE, où des avocats dénoncent des "cas systémiques" de maltraitance.