Les deux femmes ont été mises en examen et placées sous contrôle judiciaire. Cette affaire met en lumière la vulnérabilité des institutions face à la corruption et la stratégie des réseaux criminels pour obtenir des informations privilégiées afin de déjouer les enquêtes et d'influencer les procédures judiciaires. La création de la cellule anti-corruption à Marseille apparaît comme une réponse directe à cette menace croissante.