Face à la révélation de ces images, les réactions institutionnelles ont été rapides.

Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « violences volontaires ». La mère de l'enfant a porté plainte, tandis que la ministre de la Santé a saisi la procureure de Paris, qualifiant la situation d'« épouvantable ». La Défenseure des droits, Claire Hédon, s'est également autosaisie de l'affaire.

Une inspection administrative a été diligentée dans le foyer concerné.

Cette affaire, loin d'être un cas isolé selon certains observateurs, a relancé le débat sur la surveillance et les moyens alloués à l'ASE.

Des voix, comme celle du Conseil national des barreaux, s'élèvent pour réclamer un « plan Marshall de la protection de l’enfance », soulignant l'urgence de réformer un système qui semble défaillant.