Cette nouvelle affaire fait écho à un précédent scandale datant de février, où un jeune garçon avait été rasé dans un foyer associatif du 13e arrondissement par une éducatrice, une scène filmée qui avait provoqué une vive indignation.

Ces révélations successives jettent une lumière crue sur les pratiques au sein de certaines structures de l'ASE et posent la question de la surveillance et du contrôle de ces établissements chargés de la protection des mineurs les plus vulnérables. La saisine de la justice par la Mairie de Paris marque une volonté de faire toute la lumière sur ces actes et de prendre les mesures nécessaires pour que de tels faits ne se reproduisent plus.