Le contrat signé autorise l'aménagement de ces mini-centrales sur des parcelles appartenant au domaine routier national, des espaces souvent considérés comme perdus.

Le projet vise à transformer ces zones en sources de production d'énergie propre. Prévues pour être opérationnelles dès 2028, ces installations auront une capacité de production significative.

Selon les estimations, elles généreront l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 2 000 habitants. Cette initiative représente un exemple concret de la manière dont les infrastructures existantes peuvent être optimisées pour contribuer à la transition énergétique.

En utilisant des terrains déjà artificialisés et situés à proximité des zones de consommation, le projet minimise l'impact environnemental et paysager tout en renforçant l'autonomie énergétique locale. Il s'agit d'une approche pragmatique qui pourrait inspirer d'autres projets similaires à travers le pays, en démontrant que la production d'énergie solaire peut s'intégrer intelligemment dans le tissu urbain et les réseaux de transport sans empiéter sur les terres agricoles ou naturelles.