La situation a débuté le 23 septembre et, plusieurs semaines plus tard, l'origine du problème n'a toujours pas été identifiée.
Cette incertitude ajoute à l'angoisse des résidents, qui subissent cette pollution de l'air au quotidien.
L'un d'eux résume la situation par une phrase évocatrice : "Nous avons l’impression d’être dans un garage". Cette citation illustre l'intensité et la nature de la nuisance, qui affecte directement la qualité de vie dans le quartier. Au-delà de l'inconfort, cette odeur soulève des questions sur d'éventuels risques pour la santé et sur l'existence d'une pollution environnementale non détectée.
Il pourrait s'agir d'une fuite provenant d'une cuve, d'un déversement accidentel ou d'un problème lié à un réseau souterrain.
L'absence de diagnostic rapide met en évidence la difficulté pour les services compétents à localiser et à résoudre ce type de problème diffus en milieu urbain. Pour les habitants, cette affaire est un rappel tangible de la fragilité de leur environnement immédiat et de leur dépendance vis-à-vis des autorités pour garantir un cadre de vie sain.





