Ils accusent le propriétaire de l'établissement d'injures à caractère raciste, xénophobe, homophobe et sexiste. L'affaire a éclaté au grand jour après le dépôt de plaintes groupées de la part des employés. Les deux articles mentionnent un nombre important de plaignants, l'un faisant état de 17 plaintes et l'autre de 21, ce qui suggère un mouvement collectif et un profond malaise au sein de l'établissement. Les accusations sont graves et décrivent une ambiance de travail toxique, marquée par des "injures à caractère raciste, xénophobe, homophobe et sexiste" de la part du propriétaire de cette brasserie emblématique. La justice a été saisie et une enquête est désormais en cours pour faire la lumière sur ces allégations.
Ce conflit social dans un lieu aussi connu de Bordeaux met en évidence des problématiques de conditions de travail et de discrimination dans le secteur de la restauration. L'issue de la procédure judiciaire sera déterminante non seulement pour les salariés concernés mais aussi pour l'image de la brasserie.










