Cependant, un décalage important persiste : alors que la section basque espagnole devrait être achevée fin 2027, la partie française progresse lentement. Face à cette situation, la Région Nouvelle-Aquitaine a même proposé que la Société du Grand Projet du Sud-Ouest (SGPSO) avance les fonds à l'État pour accélérer les travaux. Pour Imanol Pradales, l'enjeu dépasse la simple mobilité : "La France perdrait une grande opportunité si elle n’accélère pas. L’axe atlantique est stratégique pour la compétitivité, la sécurité et la réindustrialisation de l’Europe".

Des rencontres de haut niveau sont prévues au printemps pour tenter de débloquer le dossier.