Cette politique peut être interprétée comme un choix politique fort, privilégiant la cohésion sociale et la prévention par rapport à la répression.

Les implications sont potentiellement importantes : ce modèle pourrait inspirer d'autres municipalités qui s'interrogent sur la pertinence de l'armement de leurs polices, tout en s'exposant à des critiques sur son éventuelle insuffisance face à une délinquance plus dure.

L'article présente cette alternative brestoise comme une expérience fonctionnelle et notable dans le paysage sécuritaire français.