La prévenue était jugée pour non-assistance à personne en danger.
L'audience est qualifiée de "très éprouvante", soulignant la charge émotionnelle du procès. Le point central de l'article est la position de la défense : l'accusée a demandé sa relaxe, se déclarant "pas responsable". Cette plaidoirie met en lumière la complexité juridique et morale de l'affaire.
La justice doit évaluer le degré de responsabilité d'un passager lorsque le conducteur adopte un comportement extrêmement dangereux. La question est de savoir si elle avait les moyens d'intervenir et si son inaction constitue un délit. L'article ne précise pas les détails du jugement de première instance, mais se concentre sur la tentative de l'accusée d'être innocentée. Ce cas dépasse le cadre d'un simple fait divers, il interroge la culture des rodéos urbains, la notion de responsabilité collective et l'impact dévastateur sur les familles des victimes et la communauté brestoise.
L'issue de cet appel pourrait faire jurisprudence pour des cas similaires de passivité face à une conduite à risque mortelle.





