Cependant, ce bras de fer illustre la relation complexe entre l'État et les établissements privés sous contrat qui, bien que bénéficiant de fonds publics et devant respecter les programmes nationaux, conservent une certaine autonomie. Le débat porte sur les limites de cette autonomie et l'intensité du contrôle que l'État est en droit d'exercer. Pour les familles et les élèves des établissements brestois concernés, cette situation peut soulever des interrogations sur le fonctionnement de leur école.