Ce phénomène naturel, coïncidant avec les grandes marées, soulève des questions sur la sécurité des usagers du littoral. À l'occasion des grandes marées de début novembre, une multitude de méduses, décrites comme des "taches roses et gluantes", ont envahi le sable de plusieurs plages locales, dont le Moulin-Blanc à Brest et des sites à Plougonvelin. Il s'agit de méduses pélagiques (Pelagia noctiluca), une espèce connue pour être "très urticante".
Le contact avec ces organismes peut être douloureux, comme le résume l'avertissement : "Si on les touche, ça brûle".
La présence de ces milliers de méduses rend la baignade et les activités de bord de mer dangereuses, et pourrait même entraîner une interdiction temporaire de l'accès à l'eau.
Cet événement met en évidence l'impact direct des phénomènes marins sur la vie locale et le tourisme. Bien que les échouages de méduses soient un processus naturel, leur ampleur et la nature urticante de l'espèce concernée constituent un risque pour la santé publique qui nécessite une surveillance et une communication appropriées de la part des autorités.





