Cette restriction prolongée a un impact direct sur la fréquence des rotations et la capacité d'accueil, allongeant potentiellement les temps d'attente pour les milliers d'usagers quotidiens, notamment les travailleurs et les visiteurs se rendant aux Ateliers des Capucins. La situation met en évidence les défis techniques et de maintenance d'une infrastructure de transport aussi singulière. Les raisons précises de cette indisponibilité prolongée de la seconde cabine ne sont pas détaillées dans les articles, mais une telle durée suggère une intervention complexe ou la nécessité de remplacer des pièces critiques. Pour la métropole brestoise, qui a fait du téléphérique un élément clé de son réseau de mobilité et de son image de marque, cette exploitation partielle est un contretemps significatif qui affecte la fluidité des déplacements entre le centre-ville et le quartier des Capucins.