Ce drame a immédiatement provoqué une vive réaction politique.
Le maire de Brest, François Cuillandre, a exprimé son soutien à la famille de la victime ainsi qu'aux forces de l'ordre et de secours.
Il a rapidement établi un lien entre cet homicide et le narcotrafic, un fléau qui gangrène certains quartiers.
Dans sa déclaration, il a souligné "l’urgence du renforcement des effectifs de la police nationale", une demande récurrente pour faire face à ce qu'il considère comme une dégradation de la sécurité. Cette position est partagée par d'autres élus locaux et candidats aux élections municipales, qui voient dans cette succession de faits divers violents la nécessité d'une réponse plus ferme de l'État. Le meurtre de Bellevue, survenant peu de temps après un féminicide dans un autre quartier de la ville, a cristallisé les angoisses et a placé la question de la sécurité et de la lutte contre le trafic de drogue au centre des préoccupations politiques brestoises.











