Cette situation alimente un sentiment d'impunité et d'abandon chez les résidents, qui peuvent se sentir démunis face à des réseaux criminels agissant à visage découvert.

Cet événement, comme l'homicide de Bellevue, illustre la dégradation de la situation sécuritaire dans certains quartiers brestois. La parole de cette victime est essentielle car elle humanise les statistiques de la délinquance et rappelle que derrière les guerres de territoire pour le contrôle du trafic se trouvent des citoyens ordinaires dont la vie est directement menacée. Son courage de témoigner est aussi un appel implicite aux autorités pour une action résolue afin que de tels actes ne restent pas impunis.