Les articles précisent que les travaux sont l'occasion de moderniser en profondeur les infrastructures, notamment les réseaux d'eau et d'électricité. Cette double intervention, en surface et en sous-sol, est typique des projets de réaménagement dans les centres anciens, où les réseaux sont souvent vieillissants et nécessitent une mise aux normes. De plus, le projet a dû intégrer une dimension de salubrité publique avec la nécessité de "mieux gérer les indésirables que sont étourneaux et rats". Cette problématique ajoute une couche de complexité technique et logistique au chantier.
Ces différents facteurs expliquent le retard pris sur ce projet visible et attendu par les habitants et les commerçants du quartier. Il illustre parfaitement comment les chantiers urbains modernes ne se limitent pas à l'esthétique mais doivent répondre à un cahier des charges technique et environnemental de plus en plus exigeant, ce qui peut rendre leur planification et leur exécution particulièrement ardues.










