Cette affaire s'inscrit dans un contexte plus large de lutte contre la drogue à Brest.
Un autre cas illustre les conséquences directes pour les résidents : rue Père Ricard, l'appartement d'une habitante a été squatté et transformé en point de deal pendant deux ans, la laissant démunie.
Trois personnes ont été jugées pour ces faits, soulignant la persistance du problème au-delà des réseaux organisés.
La situation est jugée suffisamment préoccupante pour que le syndicat de police Unsa cite le narcotrafic comme une cause majeure de l'augmentation de l'insécurité et de la charge de travail des policiers. La problématique dépasse les frontières de la ville, comme en témoigne l'appel des écologistes de Brest à un rassemblement en mémoire de Mehdi Kessaci, un jeune homme tué à Marseille dans le cadre du trafic de drogue. Cet hommage visait à sensibiliser l'opinion publique aux victimes de ce fléau, montrant que les répercussions du trafic, même lointaines, trouvent un écho dans la communauté brestoise.







