Face à cette situation, la ville a finalement opté pour l'abattage des arbres, considérant cette solution comme la plus efficace pour mettre un terme définitif au problème. Cette décision illustre la complexité de la cohabitation entre la faune sauvage et les activités humaines en ville. Si elle répond à une demande de tranquillité publique, elle interroge sur les alternatives possibles à la suppression d'arbres matures, qui contribuent à la qualité du cadre de vie et à la biodiversité urbaine. La gestion de ce type de conflit entre nature et ville est un défi croissant pour les municipalités, qui doivent arbitrer entre la préservation de leur patrimoine végétal et le confort de leurs habitants.