Spécialisée dans la santé avec son innovation de "l'oreille augmentée", l'entreprise se prépare à conquérir les marchés japonais et danois.
Cette évolution marque une étape cruciale pour la startup et pour l'écosystème technologique brestois.
Le changement de nom, d'Oso-AI à Orikio, n'est pas seulement cosmétique ; il répond à un impératif stratégique de protection de la marque et de meilleure résonance sur les marchés étrangers. En se positionnant sur le secteur de la santé avec une technologie de pointe, qualifiée d'"oreille augmentée", Orikio illustre le potentiel d'innovation de la région. L'affirmation de son dirigeant, "On est les seuls au monde à proposer ça", témoigne de la confiance de l'entreprise dans le caractère disruptif de son produit.
L'expansion vers des marchés aussi exigeants que le Japon et le Danemark démontre une maturité et une ambition qui dépassent le cadre local. Pour Brest, le succès d'une telle entreprise est un signal fort, capable d'attirer d'autres talents, des investisseurs et de renforcer l'image de la ville comme un pôle de la 'health tech'. C'est la preuve que des innovations de portée mondiale peuvent être développées en Finistère, contribuant ainsi à la diversification économique du territoire au-delà de ses secteurs traditionnels comme le maritime ou l'agroalimentaire. Le parcours d'Orikio sera sans doute suivi avec attention, car il pourrait servir de modèle à d'autres jeunes pousses de la région.





