Cet acte de désobéissance civile vise à rendre visible leur revendication, à interpeller directement les autorités et à démontrer la détermination de ses membres. Cela pose publiquement la question des risques (qualité de l'eau, sécurité liée aux courants) et des aménagements nécessaires pour rendre ces pratiques possibles et sûres.

Le nom même de l'association, "Les gens qui ont chaud", est évocateur et ancre leur combat dans une réalité physique partagée par de nombreux citadins.

Le texte ne précise pas la position des autorités municipales de Grenoble sur ce sujet, ni l'état actuel de la qualité des eaux des deux rivières. Il se concentre sur la présentation de l'initiative citoyenne, la décrivant comme une réponse directe et proactive aux défis climatiques contemporains.

L'article mentionne également un "café des enfants à Grenoble" sans établir de lien direct avec le sujet principal.