Des arbres ont été arrachés et des coupures d'électricité ont été signalées. Le passage de la tempête Benjamin a eu des conséquences concrètes et visibles sur le territoire grenoblois et isérois. L'événement météorologique, survenu le jeudi 23 octobre, a mis à l'épreuve la résilience des infrastructures urbaines et végétales.
À Grenoble, l'un des exemples cités est l'arrachage d'arbres dans un parc, illustrant la violence des rafales de vent. Ces chutes d'arbres représentent un danger pour la sécurité publique et peuvent causer des dommages aux biens. Outre les dégâts sur le patrimoine arboré, la tempête a également provoqué des coupures d'électricité dans plusieurs communes, affectant le quotidien des habitants et l'activité économique. Cet épisode met en évidence la vulnérabilité de la région face aux phénomènes climatiques extrêmes, dont la fréquence et l'intensité pourraient augmenter avec le changement climatique. Il soulève des questions sur la préparation des services municipaux et des opérateurs de réseaux pour faire face à ce type de crise, ainsi que sur la nécessité d'adapter l'aménagement urbain, notamment la gestion des parcs et des réseaux de distribution d'énergie, pour minimiser les impacts de futures tempêtes.





