L'article met en lumière un accord financier de 200 000 euros, qualifié de "marché sans publicité ni mise en concurrence", conclu le 5 décembre 2024 entre la Métropole de Grenoble et "Ebra Médias Rhône-Alpes Paca", la régie du Dauphiné Libéré (surnommé "Le Daubé"). Ce financement était destiné à assurer la visibilité de la Métropole lors de la deuxième édition du festival "Tech&Fest", un événement créé par le journal pour "célébrer l'innovation". Le texte détaille la ventilation des coûts, citant par exemple 42 000 € pour un "logo partenaire 1er niveau" ou encore 6 000 € pour un "édito du président sur le Linkedin du Tech&Fest", suggérant que ces prestations s'apparentent davantage à un "soutien inconditionnel" qu'à un simple achat de services de communication. Cette dépense s'inscrit dans un contexte plus large de soutien massif à l'écosystème numérique.
Le président de la Métropole, Christophe Ferrari, est cité pour avoir déclaré que "près de 32 millions d'euros" ont été investis durant son mandat pour aider les start-ups locales. Cette politique de subventionnement est critiquée, l'article sous-entendant que cet argent public n'est pas alloué aux politiques sociales. La démarche est perçue comme un moyen pour le journal de renflouer ses caisses grâce à l'argent public destiné à la "start-up nation".




