Il qualifie ces dispositifs de "gadgets qui ne marchent pas", une déclaration qui résume une opposition non seulement technique mais aussi idéologique. Cette critique suggère que, pour La France Insoumise, la réponse à la délinquance ne réside pas dans une surveillance accrue, mais plutôt dans des politiques sociales et préventives qui s'attaquent aux causes profondes de l'insécurité. Le débat dépasse ainsi le simple cadre municipal pour s'inscrire dans une confrontation nationale entre deux philosophies : l'une, souvent associée à la droite, qui privilégie les outils technologiques et répressifs pour maintenir l'ordre, et l'autre, portée par la gauche, qui met l'accent sur la prévention, l'éducation et la cohésion sociale.

L'article ne détaille pas les propositions alternatives d'Allan Brunon ni l'argumentaire complet d'Alain Carignon, mais il expose clairement la polarisation du débat.

Cette controverse sur l'efficacité et la pertinence de la vidéosurveillance est un enjeu central pour les futures élections municipales, reflétant les préoccupations des citoyens et les différentes manières d'y répondre.