La principale difficulté, telle que présentée dans l'article, est l'occupation actuelle du site par des squatteurs, une situation qui engendre une "polémique".

Bien que les détails de cette controverse ne soient pas explicités, elle oppose vraisemblablement deux visions pour l'avenir de La Bobine : d'un côté, une gestion alternative et autogérée, incarnée par le squat, et de l'autre, un retour à un cadre associatif plus structuré, tel que le proposait "L'Autre Asso". Cette situation n'est pas unique et reflète des débats plus larges sur l'usage des espaces culturels, la place de la culture alternative face à l'institutionnalisation et les risques de gentrification. L'échec de ce projet de reprise laisse La Bobine dans une situation précaire. Son futur dépendra de la capacité des différentes parties prenantes – les occupants actuels, les propriétaires, les pouvoirs publics et la communauté des usagers – à trouver un terrain d'entente pour assurer la survie et la vocation culturelle de ce lieu.