L'affaire du docteur V. devient emblématique des difficultés à traiter les cas de possibles fautes médicales en série. La lenteur des procédures judiciaires, combinée aux complexités de l'expertise médicale, peut créer une zone grise où un praticien reste en activité pendant que les enquêtes suivent leur cours.

Cela pose un dilemme éthique et sécuritaire majeur : comment équilibrer la présomption d'innocence du médecin avec le principe de précaution pour les futurs patients ? L'article, bien que succinct, expose une situation où la longévité de la controverse et le nombre d'accusateurs contrastent fortement avec l'absence apparente de mesures conservatoires, laissant la porte de son cabinet ouverte.