La paroisse, démunie de moyens financiers, lance un appel à l'aide pour un chantier jugé urgent afin de préserver ce patrimoine. La situation de l'édifice est critique : la toiture "prend l'eau", et les infiltrations qui en résultent menacent à terme l'intégrité de la structure du bâtiment.
Face à ce péril, des travaux de réparation sont considérés comme une urgence absolue. Cependant, le principal obstacle à la sauvegarde de ce lieu de culte et de patrimoine est d'ordre financier. La paroisse n'a pas les moyens de couvrir les coûts nécessaires pour une telle rénovation. Cette impasse met en lumière la problématique plus large de la conservation du patrimoine architectural religieux, souvent à la charge de communautés locales aux ressources limitées. L'architecture qualifiée d'"insolite" de l'église Saint-Jean en fait un élément singulier du paysage grenoblois, dont la perte appauvrirait le patrimoine culturel de la ville.
L'appel à la générosité publique devient donc une étape cruciale pour rassembler les fonds indispensables et éviter une dégradation irréversible du bâtiment.
Le succès de cette démarche déterminera l'avenir de l'église et sa capacité à continuer de jouer son rôle cultuel et patrimonial au sein de la communauté.









