Ce résultat place la capitale iséroise devant d'autres grandes métropoles comme Paris et souligne son attractivité internationale.
Cette première place au classement des villes françaises les plus anglophones est une reconnaissance significative pour Grenoble et renforce son image de métropole ouverte sur le monde.
L'étude, menée par un acteur majeur de l'éducation internationale et basée sur un large échantillon, confère une certaine crédibilité à ce résultat. L'article établit un lien direct entre cette performance et l'écosystème unique de la ville, caractérisé par une forte concentration « d'instituts internationaux, de chercheurs étrangers et son écosystème tech ». Cette analyse suggère que la maîtrise de l'anglais à Grenoble n'est pas seulement le fruit du système éducatif, mais aussi une conséquence de son dynamisme économique et scientifique. L'anglais y est une langue de travail et de communication quotidienne pour une part importante de la population. Les implications de ce classement sont multiples et positives : il peut attirer davantage d'étudiants, de chercheurs et de professionnels internationaux, renforcer l'attractivité de la ville pour les entreprises étrangères et favoriser les échanges culturels et économiques. Ce résultat distingue Grenoble au niveau national, où le niveau d'anglais est souvent perçu comme un point faible, et positionne la ville comme un pôle d'excellence et de compétitivité à l'échelle européenne.









