La paroisse, n'ayant pas les moyens de financer les réparations urgentes, tire la sonnette d'alarme sur les risques qui pèsent sur la structure du bâtiment. La situation de l'église Saint-Jean met en lumière le défi constant de la préservation du patrimoine bâti, en particulier du patrimoine religieux du XXe siècle, souvent moins protégé que les édifices plus anciens.
L'article mentionne une « architecture insolite », ce qui suggère que le bâtiment possède une valeur architecturale et culturelle qui mérite d'être sauvegardée.
Les fuites de toiture sont un problème grave qui, s'il n'est pas traité, peut entraîner des dommages structurels irréversibles, menaçant l'intégrité même de l'édifice.
Le caractère « urgent » du chantier, souligné dans le texte, indique que la situation a atteint un point critique. Le cœur du problème est financier : l'incapacité de la paroisse à assumer le coût des travaux pose la question des responsabilités et des sources de financement pour l'entretien de ce type de patrimoine. Cela ouvre un débat sur le rôle des collectivités locales, de l'État via la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles), et du mécénat privé ou citoyen, par exemple via des fondations comme la Fondation du Patrimoine. L'article ne précise pas si des démarches ont été entreprises pour obtenir des subventions, ni le coût estimé des travaux. Il ne dit pas non plus si l'église est classée ou inscrite au titre des monuments historiques, un statut qui conditionne souvent l'accès aux aides publiques.









