L'article souligne que ce succès n'est pas isolé, puisque la région Auvergne-Rhône-Alpes se classe deuxième au niveau national.

L'analyse fournie dans le texte établit un lien direct entre cette performance et "l'investissement local fort en matière d’enseignement linguistique".

Le dynamisme de l'écosystème grenoblois, caractérisé par la présence de "nombreux instituts internationaux, chercheurs étrangers et son écosystème tech", est présenté comme un facteur clé créant un "environnement propice à l’usage quotidien de l’anglais". L'article précise également que l'évaluation de cette année intégrait pour la première fois l'expression écrite et orale grâce à l'intelligence artificielle, renforçant la crédibilité du résultat. Cette première place est donc interprétée comme le reflet de l'ouverture internationale de la ville et de son attractivité.