Elle démontre que la législation sur les espèces protégées peut constituer un rempart efficace contre des projets jugés surdimensionnés ou mal intégrés à leur environnement. La mobilisation des citoyens a également joué un rôle clé en alertant et en maintenant la pression sur les autorités et le promoteur. Ce cas d'école illustre la complexité de concilier développement économique et protection de la nature dans des écosystèmes sensibles proches de grandes agglomérations comme Grenoble.