Le 17 octobre 2024, une montée des eaux d'une intensité inédite avait ravagé des quartiers entiers, laissant derrière elle un paysage de désolation.
Un an plus tard, les souvenirs de cette journée, que le retraité Jean-Louis Riva décrit comme un « film d’horreur », sont encore vifs. De nombreuses habitations portent toujours les stigmates des inondations, et pour beaucoup de résidents, le retour à la normale est encore lointain. Les articles soulignent le lourd fardeau psychologique qui pèse sur les victimes, beaucoup se disant « traumatisés ».
À cette détresse s'est ajoutée la complexité des démarches administratives et des négociations avec les assurances.
Pour de nombreux sinistrés, cette période a été vécue comme une « double peine », les indemnisations n'ayant été versées que récemment pour la plupart, retardant d'autant les travaux de rénovation. Face au chaos, les récits mettent également en lumière les élans de solidarité qui ont émergé, tant de la part des voisins que des associations comme la Croix Rouge Française du Rhône. Ces témoignages rappellent la résilience des communautés affectées, mais aussi la vulnérabilité du territoire face à des événements climatiques extrêmes et la nécessité d'une meilleure préparation et d'un soutien plus rapide aux victimes.







