Un an plus tard, les stigmates de la catastrophe sont encore visibles sur de nombreuses habitations. Pour les sinistrés, le souvenir de ces événements est encore vif et traumatisant.

Un des principaux défis a été la gestion des suites avec les assurances, une étape que beaucoup décrivent comme une "double peine".

Les délais d'indemnisation ont été longs et les procédures complexes, ajoutant un stress financier et administratif à l'épreuve déjà subie. La plupart des sinistrés n'ont reçu que récemment les fonds nécessaires pour engager les travaux de rénovation. Face à cette situation, les articles soulignent l'élan de solidarité qui s'est manifesté dès les premières heures. Les voisins, les associations comme la Croix-Rouge française du Rhône, et les bénévoles se sont mobilisés pour aider au nettoyage et apporter un soutien moral et matériel aux victimes. Cette commémoration est l'occasion de rappeler la vulnérabilité du territoire face aux événements climatiques extrêmes et l'importance de la préparation et de l'entraide communautaire.